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non longe

  • 1 non longe

    Abbreviation: nl (not far)

    Универсальный русско-английский словарь > non longe

  • 2 longe

    longē, adv. [st1]1 [-] en long, en longueur; loin, au loin.    - vim suam longe lateque diffidunt, Cic. Div. 1, 79: (les dieux) répandent en long et en large leur puissance.    - omnibus longe lateque aedificiis incensis, Caes. BG. 4: après avoir incendié toutes les maisons sur une vaste étendue.    - longe gradi, Virg. En. 10, 572: faire de grands pas.    - longe abesse, Cic. Fam. 2, 7, 1: être éloigné.    - longe procedere, Cic. Verr. 2, 65: s'avancer loin.    - quam longe videmus? Cic. Ac. 2, 80: à quelle distance porte notre vue?    - domi aut non longe a domo esse, Cic. Phil. 12, 23: être chez soi ou non loin de chez soi.    - locum castris deligit ab Avarico longe milia passuum sedecim, Caes. BG. 7, 16, 1: il choisit un emplacement pour son camp à une distance de seize mille pas d'Avaricum.    - tria milia passuum longe a castris considere, Caes. BG. 5, 47, 5: prendre position à trois mille pas du camp.    - non longe ex eo loco abesse, Caes. BG. 5, 21, 2: n'être pas fort éloigné de ce lieu.    - longe gentium abesse, Cic. Att. 6, 3, 1: être à l'autre bout du monde.    - non longe a Syracusis, Cic.: non loin de Syracuse.    - longe esse alicui, Virg. (longe esse ab aliquo, Caes.): n'être d'aucun secours à qqn.    - compar. sans infl. sur la constr., c. amplius: non longius milia passuum octo abesse, Caes. BG. 5, 53, 7: n'être pas à plus de huit mille pas de distance. [st1]2 [-] au fig. longuement ; loin, au loin.    - aliquid longius dicere, Cic. Or. 162, exposer qqch plus longuement.    - labi longius, Cic. Leg. 1, 52: se laisser aller trop loin de son sujet.    - verbum longius ductum, Cic. Br. 274: mot tiré de trop loin, recherché.    - longe aliquid repetere, Cic. Leg. 1, 28: aller chercher qqch bien loin en arrière.    - longe prospicere casus futuros rei publicae, Cic. Lael. 40: voir au loin dans l'avenir les dangers qui menacent la république.    - quoad longissime potest mens mea respicere, Cic. Arch. 1: aussi loin que mon esprit peut revoir en arrière.    - alicujus vitam longius producere, Cic. Br. 60: faire vivre qqn plus longtemps, lui attribuer une vie plus longue.    - longius anno, Caes. BG. 4, 1, 7: plus d'un an.    - longius triduo, Caes. BG. 7, 9, 2: plus de trois jours.    - paullo longius, Caes. BG. 7, 71, 4: un peu plus longtemps. [st1]3 [-] grandement, beaucoup.    - mais avec des adj., adv. ou verbes marquant éloignement, différence, préférence: longe abhorrere, dissentire, praestare, excellere, antecellere, anteponere, longe alius, dissimilis, aliter, secus, etc.    - a vulgo longe longeque remoti, Hor. S. 1, 6, 18: écartés loin, loin de la foule.    - longe aliter est, Cic. Amer. 138: il en est tout autrement.    - ea res longe aliter ac ratus erat evenit, Sall. J. 7: l'issue fut tout autre qu'il n'avait pensé. [st1]4 [-] devant les superl.: de beaucoup, sans contredit.    - longe plurimum ingenio valere, Cic. Br. 55: avoir une très haute supériorité intellectuelle.    - longe eloquentissimus, Cic. Caec. 53: de beaucoup le plus éloquent.    - longe omnium princeps, Cic. Or. 62: de beaucoup le premier de tous.    - longe longeque plurimum tribuere honestati, Cic. Fin. 2, 68: faire la part de beaucoup la plus large à l'honnête.    - longe nobilissimus fuit et ditissimus, Caes. BG. 1, 2: de beaucoup le plus noble et le plus riche.    - devant les compar.: longe melior, Virg. En. 9, 556: bien supérieur.    - cf. Sall. H. 3, 48, 9 ; Liv. 24, 28, 5 ; Curt. 10, 3, 10; Tac. An. 4, 40; Quint. 10, 1, 7, etc.
    * * *
    longē, adv. [st1]1 [-] en long, en longueur; loin, au loin.    - vim suam longe lateque diffidunt, Cic. Div. 1, 79: (les dieux) répandent en long et en large leur puissance.    - omnibus longe lateque aedificiis incensis, Caes. BG. 4: après avoir incendié toutes les maisons sur une vaste étendue.    - longe gradi, Virg. En. 10, 572: faire de grands pas.    - longe abesse, Cic. Fam. 2, 7, 1: être éloigné.    - longe procedere, Cic. Verr. 2, 65: s'avancer loin.    - quam longe videmus? Cic. Ac. 2, 80: à quelle distance porte notre vue?    - domi aut non longe a domo esse, Cic. Phil. 12, 23: être chez soi ou non loin de chez soi.    - locum castris deligit ab Avarico longe milia passuum sedecim, Caes. BG. 7, 16, 1: il choisit un emplacement pour son camp à une distance de seize mille pas d'Avaricum.    - tria milia passuum longe a castris considere, Caes. BG. 5, 47, 5: prendre position à trois mille pas du camp.    - non longe ex eo loco abesse, Caes. BG. 5, 21, 2: n'être pas fort éloigné de ce lieu.    - longe gentium abesse, Cic. Att. 6, 3, 1: être à l'autre bout du monde.    - non longe a Syracusis, Cic.: non loin de Syracuse.    - longe esse alicui, Virg. (longe esse ab aliquo, Caes.): n'être d'aucun secours à qqn.    - compar. sans infl. sur la constr., c. amplius: non longius milia passuum octo abesse, Caes. BG. 5, 53, 7: n'être pas à plus de huit mille pas de distance. [st1]2 [-] au fig. longuement ; loin, au loin.    - aliquid longius dicere, Cic. Or. 162, exposer qqch plus longuement.    - labi longius, Cic. Leg. 1, 52: se laisser aller trop loin de son sujet.    - verbum longius ductum, Cic. Br. 274: mot tiré de trop loin, recherché.    - longe aliquid repetere, Cic. Leg. 1, 28: aller chercher qqch bien loin en arrière.    - longe prospicere casus futuros rei publicae, Cic. Lael. 40: voir au loin dans l'avenir les dangers qui menacent la république.    - quoad longissime potest mens mea respicere, Cic. Arch. 1: aussi loin que mon esprit peut revoir en arrière.    - alicujus vitam longius producere, Cic. Br. 60: faire vivre qqn plus longtemps, lui attribuer une vie plus longue.    - longius anno, Caes. BG. 4, 1, 7: plus d'un an.    - longius triduo, Caes. BG. 7, 9, 2: plus de trois jours.    - paullo longius, Caes. BG. 7, 71, 4: un peu plus longtemps. [st1]3 [-] grandement, beaucoup.    - mais avec des adj., adv. ou verbes marquant éloignement, différence, préférence: longe abhorrere, dissentire, praestare, excellere, antecellere, anteponere, longe alius, dissimilis, aliter, secus, etc.    - a vulgo longe longeque remoti, Hor. S. 1, 6, 18: écartés loin, loin de la foule.    - longe aliter est, Cic. Amer. 138: il en est tout autrement.    - ea res longe aliter ac ratus erat evenit, Sall. J. 7: l'issue fut tout autre qu'il n'avait pensé. [st1]4 [-] devant les superl.: de beaucoup, sans contredit.    - longe plurimum ingenio valere, Cic. Br. 55: avoir une très haute supériorité intellectuelle.    - longe eloquentissimus, Cic. Caec. 53: de beaucoup le plus éloquent.    - longe omnium princeps, Cic. Or. 62: de beaucoup le premier de tous.    - longe longeque plurimum tribuere honestati, Cic. Fin. 2, 68: faire la part de beaucoup la plus large à l'honnête.    - longe nobilissimus fuit et ditissimus, Caes. BG. 1, 2: de beaucoup le plus noble et le plus riche.    - devant les compar.: longe melior, Virg. En. 9, 556: bien supérieur.    - cf. Sall. H. 3, 48, 9 ; Liv. 24, 28, 5 ; Curt. 10, 3, 10; Tac. An. 4, 40; Quint. 10, 1, 7, etc.
    * * *
        Longe, Aduerbium. Loing.
    \
        Non longe ab aedibus. Cic. Il n'est pas fort loing de la maison.
    \
        Longe iam abieram. Terent. J'estoye ja allé assez loing.
    \
        Ne longe abeam per translationem. Cic. Sans que j'aille plus loing pour trouver exemple. Vide ABEO.
    \
        Longe hinc abest, vnde vectae Sumus. Plaut. Il y a loing d'ici d'où, etc.
    \
        Longe gentium abest. Cic. Il est fort loing.
    \
        Longe a me abest. Plaut. Il est loing de moy.
    \
        Ista stimulum longe habet. Plaut. Dont elle atteint de bien loing.
    \
        Illic longe vsque in campis vltimis habitat. Plaut. Il demeure là loing és champs.
    \
        Longe prospicere futuros casus. Cic. Preveoir de loing.
    \
        Longe est mihi. Martial. Il est loing de moy.
    \
        Pedibus longe melior Lycus. Virg. Il va beaucoup mieulx du pied.
    \
        Longe audacissimum habuimus. Cic. Beaucoup plus temeraire.
    \
        Longe, longeque plurimum tribuere honestati. Cic. Beaucoup, Beaucoup plus.
    \
        Longe caeteris artibus antecedit illud studium. Cic. Il est beaucoup plus excellent.
    \
        Longe aliter, atque a me dicta erant, detulerunt. Cic. Bien autrement.
    \
        Res aliter longe euenit. Liu. Est bien advenue autrement.
    \
        Longe ante videre. Cic. Preveoir de loing.
    \
        Longe secus est. Cic. Il va bien autrement.
    \
        Orationem longe aliam praebes nunc, atque olim quum dabam. Plaut. Tu parles bien autrement que, etc.
    \
        Longe princeps. Cic. Le plus excellent, ou plus grand.
    \
        Longe principes habentur Hedui. Caesar. Sont les plus estimez et honorez.
    \
        Longe primus ciuitatis est Epicrates. Cic. Il est le plus estimé de la cité, et le plus excellent.
    \
        Haec ciuitas longe plurimum totius Galliae equitatu valet. Caesar. Beaucoup plus sans comparaison.
    \
        Longe plurimos captiuos ante currum duxit. Liu. Bien fort grand nombre.
    \
        Longe anteire. Plaut. Passer de beaucoup.
    \
        Cuius ego iudicium longe antepono tuo. Cic. J'estime beaucoup plus son jugement que le tien.
    \
        - errat longe, Qui imperium credat grauius esse aut stabilius, Vi quod fit, quam illud quod amicitia adiungitur. Terent. Il erre grandement, Il s'abuse beaucoup.
    \
        Longe remotus ab ambitione. Plin. iunior. Qui est bien loing d'ambition.
    \
        Longius, Comparatiuum, Plus loing. Plautus, Auecta est, peregre hinc habitatum longius. Assez loing.
    \
        Non aberit longius. Terent. Il ne demeurera plus gueres qu'il ne vienne.
    \
        Non cogitas hinc longius abesse? Terent. Ne penses tu pas qu'il y a loing d'ici?
    \
        Longius abire. Terent. S'esloigner.
    \
        Longius currere. Cic. Bien avant.
    \
        Longius in amicitia prouecti. Cic. Lesquels il y a ja long temps qu'ils s'entr'aiment.
    \
        Longissime, Superlatiuus. Liu. Tresloing.
    \
        Longissime abest a vero. Cic. Il est tresloing de la verité.
    \
        Quid longissime meministi? Plaut. Dequoy te souvient il du plus loing?
    \
        - quam dudum in portum huc venis? P. Longissime. Plaut. Il y a fort long temps.

    Dictionarium latinogallicum > longe

  • 3 longe

    longē, Adv. (longus), lang, in die Länge, I) im Raume: A) langhin, weithin, fernhin, weit, fern, 1) eig.: longe gradi, große Schritte machen, Verg.: longe abesse, Cic.: so auch longe esse, weit (entfernt) sein, Ov.: longe videre, Cic.: so auch longius videre, Cic.: longe abire, Ter.: longius discedere, Cic.: longius sequi, Tac.: longe a Tiberi, Cic.: oppidum est non longe a Syracusis, Cic.: longius ab urbe (quam) mille passuum, Liv.: locum castris deligit ab Avarico longe milia passuum XVI, in einer Entfernung von usw., Caes.: longe a suis inter hostium cadavera repertus est, Sall.: non longe ex eo loco, Caes.: quam longe est hinc in saltum vestrum Gallicanum? Cic. – longe lateque, s. lātē. – m. Genet., abes longe gentium, bist weit entfernt in der Welt, Cic.: aber longe parentum, fern von den Eltern, Apul. – 2) bildl.: a) übh., weit, ne longius abeam, um die Beispiele nicht weiter herzuholen, Cic.: res nos longius trahit ab incepto, Sall. – longissime abesse a vero, Cic., ab humanitate, Caes.: quod abest longissime, davon bin ich weit entfernt, das ist gar nicht meine Absicht, Cic.: non longe esse a veritate, Lact., ab hac vanitate, Lact.: ab eloquentia longissime esse, der B. ganz fern stehen, Quint. – ab alqo longe abesse, jmdm. nichts helfen, Caes.: u. so alci longe esse, Verg. u.a. – errat longe mea quidem sententia, irrt weithin = irrt sehr, Ter. – par studiis sed robore longe, weit entfernt, nachstehend, Stat. – b) bei Begriffen der Verschiedenheit, weit, longe a nostris rebus iuncta divûm natura, Lucr.: a volgo longe longeque remoti, Hor.: l. dissimilis contentio, Cic.: l. diversus, l. dispar, Cic.: l. alius, Cic.: l. aliter se habet ac etc., Cic.: quod l. secus est, Cic.: l. dissentire, Cic. – longe interest, s. inter-suma. E. – bei Comparativen u. Superlativen u. bei allen Begriffen des Vorzugs, weit, bei weitem, l. melior, Verg.: l. tumultuosior, Vell.: l. clarior, Quint.: l. magis prosper, Vell.: l. magis probari, Quint.: eam l. minoris ac levioris momenti esse consultationem, Liv. – longe ante alias specie insignis, Liv. – l. gratissimus, Varro At. fr.: l. nobilissimus, Caes.: l. maximus, Cic.: l. primus civitatis, Cic.: bene l. princeps, Cic.: plurimum et longe longeque plurimum tribuere voluptati, Cic. – l. praestare, antecellere, Cic.: l. anteponere alci rei, Cic. – B) weit = von weitem (s. Haupt opusc. 2, 455), agnoscere regem, Verg.: gemitum morientis, Ov.: videre, Ov.: accurrere, Ter.: longeque (= longe quoque), schon von weitem, Val. Flacc. – im Bilde, di immortales, quam tu longe iuris principia repetis, Cic. de legg. 1, 28: tam longe repetita principia, so weit hergeholte, Cic. ep. 13, 29, 2. – Spätlat. a longe u. de longe, s. Rönsch Itala p. 231. Muncker Hyg. fab. 257. p. 311. – II) übtr., von der Zeit, weit, lange, u. zwar von der fortlaufenden, von der Gegenwart in die Zukunft ausgedehnten Zeit, longe ante videre, Cic.: longe subsequi, lange danach, Quint.: longius debere, länger schuldig bleiben, Nep.: video caculam militarem me futurum haud longius, in nicht gar langer Zeit, nächstens, Plaut.: non nimium longe (später) in scaena florere, Gell. – haec dixi brevius... longius autem etc., weitläufiger, Cic. – si quid modo longius circumduxerunt, übermäßig lange herumgezogen haben, Quint.

    lateinisch-deutsches > longe

  • 4 longe

    longē, Adv. (longus), lang, in die Länge, I) im Raume: A) langhin, weithin, fernhin, weit, fern, 1) eig.: longe gradi, große Schritte machen, Verg.: longe abesse, Cic.: so auch longe esse, weit (entfernt) sein, Ov.: longe videre, Cic.: so auch longius videre, Cic.: longe abire, Ter.: longius discedere, Cic.: longius sequi, Tac.: longe a Tiberi, Cic.: oppidum est non longe a Syracusis, Cic.: longius ab urbe (quam) mille passuum, Liv.: locum castris deligit ab Avarico longe milia passuum XVI, in einer Entfernung von usw., Caes.: longe a suis inter hostium cadavera repertus est, Sall.: non longe ex eo loco, Caes.: quam longe est hinc in saltum vestrum Gallicanum? Cic. – longe lateque, s. late. – m. Genet., abes longe gentium, bist weit entfernt in der Welt, Cic.: aber longe parentum, fern von den Eltern, Apul. – 2) bildl.: a) übh., weit, ne longius abeam, um die Beispiele nicht weiter herzuholen, Cic.: res nos longius trahit ab incepto, Sall. – longissime abesse a vero, Cic., ab humanitate, Caes.: quod abest longissime, davon bin ich weit entfernt, das ist gar nicht meine Absicht, Cic.: non longe esse a veritate, Lact., ab hac vanitate, Lact.: ab eloquentia longissime esse, der B. ganz fern stehen, Quint. – ab alqo longe abesse, jmdm. nichts helfen, Caes.: u. so alci longe esse, Verg. u.a. – errat longe mea quidem sententia, irrt weithin = irrt sehr,
    ————
    Ter. – par studiis sed robore longe, weit entfernt, nachstehend, Stat. – b) bei Begriffen der Verschiedenheit, weit, longe a nostris rebus iuncta divûm natura, Lucr.: a volgo longe longeque remoti, Hor.: l. dissimilis contentio, Cic.: l. diversus, l. dispar, Cic.: l. alius, Cic.: l. aliter se habet ac etc., Cic.: quod l. secus est, Cic.: l. dissentire, Cic. – longe interest, s. intersum a. E. – bei Comparativen u. Superlativen u. bei allen Begriffen des Vorzugs, weit, bei weitem, l. melior, Verg.: l. tumultuosior, Vell.: l. clarior, Quint.: l. magis prosper, Vell.: l. magis probari, Quint.: eam l. minoris ac levioris momenti esse consultationem, Liv. – longe ante alias specie insignis, Liv. – l. gratissimus, Varro At. fr.: l. nobilissimus, Caes.: l. maximus, Cic.: l. primus civitatis, Cic.: bene l. princeps, Cic.: plurimum et longe longeque plurimum tribuere voluptati, Cic. – l. praestare, antecellere, Cic.: l. anteponere alci rei, Cic. – B) weit = von weitem (s. Haupt opusc. 2, 455), agnoscere regem, Verg.: gemitum morientis, Ov.: videre, Ov.: accurrere, Ter.: longeque (= longe quoque), schon von weitem, Val. Flacc. – im Bilde, di immortales, quam tu longe iuris principia repetis, Cic. de legg. 1, 28: tam longe repetita principia, so weit hergeholte, Cic. ep. 13, 29, 2. – Spätlat. a longe u. de longe, s. Rönsch Itala p. 231. Muncker Hyg. fab. 257. p. 311. – II) übtr., von der Zeit, weit, lange, u. zwar von der fortlaufenden,
    ————
    von der Gegenwart in die Zukunft ausgedehnten Zeit, longe ante videre, Cic.: longe subsequi, lange danach, Quint.: longius debere, länger schuldig bleiben, Nep.: video caculam militarem me futurum haud longius, in nicht gar langer Zeit, nächstens, Plaut.: non nimium longe (später) in scaena florere, Gell. – haec dixi brevius... longius autem etc., weitläufiger, Cic. – si quid modo longius circumduxerunt, übermäßig lange herumgezogen haben, Quint.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > longe

  • 5 longē

        longē adv. with comp. and sup.    [longus], a long way off, far, far off, at a distance: ab eo oppido non longe fanum est: longe absum: longe lateque conlucere, far and wide: longe gradi, take long steps, V.: Rhenum non longe a mari transire, Cs.: longius prodire, Cs.: fontes longius a praesidiis aberant, Cs.: a cultu provinciae longissime absunt, Cs.— Away, distant: tria milia passuum longe ab castris, Cs.: minus V et XX milibus longe ab Uticā, Cs.—Fig., far away, out of reach, of no avail: longe iis fraternum nomen populi R. afuturum, Cs.: Longe illi dea mater erit, V.: Quam tibi nunc longe regnum dotale Creüsae, O.— Long, for a long period: longe prospicere futuros casūs: stupet Dares, longeque recusat, V.: Varro vitam Naevi producit longius: longius anno remanere, Cs.: longissime respicere: haec dixi longius quam, etc., at greater length.—Widely, greatly, much, very much, by far: errat, T.: nobilissimus, Cs.: doctissimus, H.: longe plurimum ingenio valuisse videtur: quod longe secus est: dissimilis contentio: longe mihi alia mens est, S.: longissime diversa ratio est: longe omnīs multumque superare: Sed longe cunctis longeque potentior illa, O.: longe melior, V.: minor, L.
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    longius, longissime ADV
    far (off), distant, a long way; by far; for a long while, far (in future/past)

    Latin-English dictionary > longē

  • 6 longe

    longē [ longus ]
    1) далеко, вдаль, вдали (abesse, discedere, abire C etc.)
    l. lateque C, Cs — вдоль и поперёк, повсюду
    tria milia passuum l. ab aliquā re Cs — в трёх (римских) милях от чего-л.
    l. gentium abesse погов. Cбыть на другом краю света
    l. esse alicui Cs, V, O etc. — быть далеко от кого-л., перен. не оказывать никакой помощи кому-л.
    ne l. tibi Juppĭter absit O — (уходи прочь), не то сам Юпитер тебе не поможет
    2) издали (audire, venire Pl; accurrere Ter)
    3) гораздо (l. melior V)
    4) весьма, чрезвычайно, безусловно, совсем, вполне (l. nobilissimus Cs; l. primus civitatis C)
    5) пространно, подробно, обстоятельно ( longius dicere C)
    longius, quam dictum esset, debere Nepпросрочить платёж долга
    quam dudum in portum venis?— Longissime Ter — давно ли ты прибыл в порт?— Очень давно

    Латинско-русский словарь > longe

  • 7 longus

    longus, a, um, adj. [cf. langazô, longazô], long.
    I.
    Lit.
    A.
    In gen.:

    longo interjecto intervallo,

    Cic. Off. 1, 9, 30:

    longissima epistula,

    id. Att. 16, 11:

    Rhenus longo spatio citatus fertur,

    Caes. B. G. 4, 9:

    proficisci longissimo agmine,

    id. ib. 5, 31:

    stant longis annixi hastis,

    Verg. A. 9, 229:

    umbilicus septem pedes longus,

    Plin. 6, 34, 39, § 212:

    longa folia habet fere ad tres digitos,

    id. 27, 12, 86, § 110:

    ferrum autem tres longum habebat pedes,

    in length, Liv. 21, 8:

    scrobes faciemus tribus pedibus longas,

    Pall. 2, 10: longa navis, a war-ship, manof-war, on account of its shape, Enn. ap. Serv. ad Verg. A. 11, 326 (Ann. v. 468 Vahl.); [p. 1077] Lentul. ap. Cic. Fam. 12, 15, 5: longus versus, the heroic hexameter, Enn. ap. Cic. Leg. 2, 27, 68; Diom. p. 493 P.; Isid. Orig. 1, 38:

    longa atque insignis honorum pagina,

    Juv. 10, 57:

    sesquipede est quam tu longior,

    taller, Plaut. Trin. 4, 2, 58:

    longus homo, i. q. longurio,

    a tall fellow, long-shanks, Cat. 67, 47; so,

    Maura,

    Juv. 10, 223: longa manus, a long, far-reaching, mighty hand:

    an nescis longas regibus esse manus,

    Ov. H. 17, 166;

    on the contrary: attulimus longas in freta vestra manus,

    unmutilated, uninjured, Prop. 3, 5, 14 (4, 6, 60).—
    B.
    In partic., far off, remote, distant, = longinquus (post-Aug. and very rare):

    remeans longis oris,

    Sil. 6, 628:

    longa a domo militia,

    Just. 18, 1: longas terras peragrare, Auct. Decl. Quint. 320.—
    C.
    Great, vast, spacious ( poet.):

    pontus,

    Hor. C. 3, 3, 37; 3, 27, 43:

    Olympus,

    Verg. G. 3, 223:

    classemque ex aethere longo prospexit,

    id. A. 7, 288:

    caelum,

    Ov. M. 6, 64.—
    II.
    Transf., of time, long, of long duration or continuance, tedious:

    in tam longa aetate,

    Cic. de Sen. 19, 66:

    vita longior,

    id. Tusc. 1, 39, 94:

    horae quibus exspectabam longae videbantur,

    id. Att. 12, 5, 4:

    uno die longior mensis,

    id. Verr. 2, 2, 52, § 129:

    longa interjecta mora,

    Caes. B. C. 3, 69:

    post longum tempus,

    Sen. Contr. 7, 17, 2; 9, 28, 12:

    per longum tempus,

    Suet. Ner. 57:

    vita,

    Liv. 2, 40, 6; 9, 17, 6:

    spatium (sc. temporis),

    id. 9, 18, 10:

    error,

    protracted, id. 5, 33:

    caedes,

    id. 6, 8, 7:

    longi aliorum principatus,

    Tac. H. 2, 55:

    longae pacis mala,

    Juv. 6, 292:

    bellum,

    Quint. 3, 8, 56:

    memoriam nostri longam efficere,

    Sall. C. 1, 3:

    morbus,

    Liv. 27, 23, 6; Cels. 3, 1, 1:

    longo tempore,

    after a long interval, Verg. A. 3, 309; cf.:

    longo post tempore,

    id. E. 1, 29:

    longa dies,

    length of days, a long life, Juv. 10, 265:

    longa syllaba,

    Cic. de Or. 3, 47, 183:

    littera,

    id. Or. 48, 159:

    syllabae,

    Quint. 9, 4, 36:

    vocalis,

    id. 9, 4, 85:

    longae pretium virtutis,

    Luc. 2, 258:

    longa Lethe,

    id. 6, 769: in rebus apertissimis nimis longi sumus; Cic. Fin. 2, 27, 85:

    exordium nimis longum,

    Auct. Her. 1, 7, 11:

    longior quam oportet sermo,

    Quint. 8, 3, 53:

    nulla de morte hominis cunctatio longa est,

    Juv. 6, 221:

    quantis longa senectus plena malis,

    id. 10, 190; 14, 251.—Hence:

    longum est,

    it would take long, it would be tedious, Cic. Verr. 2, 1, 60, § 156:

    longum est ea dicere, sed hoc breve dicam,

    id. Sest. 5, 12: experire;

    non est longum,

    id. Phil. 3, 2, 10:

    arcessere tormenta longum videbatur,

    Tac. H. 3, 71. —Ellipt., without inf., Cic. N. D. 1, 8, 19: ne longum sit, ne longum faciam, not to be tedious, to speak briefly:

    ac, ne longum sit, Quirites, tabellas proferri jussimus,

    id. Cat. 3, 5, 10:

    ac ne longum fiat, videte,

    id. Leg. 2, 10, 24:

    ne longum faciam: dum tu quadrante lavatum Rex ibis,

    Hor. S. 1, 3, 137: longius facere, to defer or put off any longer:

    nihil opus est exemplis id facere longius,

    Cic. Fin. 5, 6, 16; id. Leg. 1, 7, 22: nihil est mihi longius, nothing makes time seem longer to me than, i. e. I am full of impatience, can hardly wait for:

    respondit, nihil sibi longius fuisse, quam ut me viderit,

    id. Fam. 11, 27, 1; id. Verr. 2, 4, 18, § 39;

    but: nec mihi longius quicquam est quam videre hominum voltus,

    nothing is more tedious, id. Rab. Post. 12, 35: in longum, long, for a long time:

    nec in longum dilata res,

    Liv. 5, 16:

    in longum dilata conclusio,

    drawn out tediously, Quint. 8, 2, 22:

    causando nostros in longum ducis amores,

    Verg. E. 9, 56:

    otium ejus rei haud in longum paravit,

    Tac. A. 3, 27; 11, 20:

    in longum sufficere,

    id. H. 4, 22:

    odia in longum jaciens, ia. A. 1, 69: nec in longius consultans,

    id. H. 2, 95: per longum, for a long time:

    per longum celata fames,

    Sil. 2, 465: ex longo, for a long time back:

    collecta fatigat edendi Ex longo rabies,

    Verg. A. 9, 64: longa spes, that looks far ahead, reaching far into futurity:

    vitae summa brevis spem nos vetat inchoare longam,

    Hor. C. 1, 4, 15; Stat. Th. 1, 322.—Of persons, prolix, tedious:

    nolo esse longus,

    Cic. N. D. 1, 36, 101:

    in verbis nimius et compositione nonnumquam longior,

    Quint. 10, 1, 118:

    (testis) longus protrahi potest,

    id. 5, 7, 26:

    longus spe ( = tardus et difficilis ad sperandum),

    slow to hope, Hor. A. P. 172.— Hence, adv., in three forms.
    A.
    Form longē, long, in length.
    1.
    Lit., a long way off, far, far off, at a distance, Plaut. Rud. 4, 3, 95: ab eo oppido non longe fanum est Junonis, Cic. Verr. 2, 4, 46, § 103:

    longe absum, audio sero,

    id. Fam. 2, 7, 1:

    quam longe est hinc in saltum Gallicanum,

    id. Quint. 25, 79:

    longe mihi obviam processerunt,

    id. Verr. 2, 2, 27, § 65: longe lateque collucere, in length and breadth, i. e. far and wide, everywhere, id. N D. 2, 15, 40:

    Di vim suam longe lateque dmundunt,

    id. Div. 1, 36, 79:

    longe gradi,

    to take long steps, Verg. A. 10, 572:

    Vercingetorix locum castris delegit ab Avarico longe millia passuum XVI.,

    Caes. B. G. 7, 16:

    Rhenum non longe a mari transire,

    id. ib. 4, 1, 1:

    tu autem abes longe gentium,

    Cic. Att. 6, 3, 1; cf. id. Fam. 12, 22, 2.— Comp.:

    fontes longius a praesidiis aberant,

    Caes. B. C. 3, 49, 5:

    longius non discedam,

    Cic. Fam. 14, 2 fin.:

    longius meare,

    Col. 9, 8, 9.—
    2.
    Trop.
    a.
    Of time, long, for a long period (but, acc. to some, not in positive; and the foll. passages are to be understood locally; v. Forbig. ad Verg. A. 5, 406; 10, 317):

    longe prospicere futuros casus,

    Cic. Lael. 12, 40:

    stupet Dares, longeque recusat,

    Verg. A. 5, 406:

    nec longe,

    id. ib. 10, 317:

    quae venientia longe ante videris,

    Cic. Tusc. 3, 14, 29.— Comp.:

    Varro vitam Naevii producit longius,

    Cic. Brut. 15, 60:

    paulo longius tolerare,

    Caes. B. G. 7, 71, 4:

    longius anno remanere,

    id. ib. 4, 1, 7; Nep. Att. 2, 4; Sall. C. 29, 1.— Sup.: quamdudum in portum venis huc? Ep. Longissime, Plaut. Stich. 4, 1, 24:

    quid longissime meministi in patria tua,

    id. Men. 5, 9, 52:

    quoad longissime potest mens mea respicere,

    Cic. Arch. 1, 1.—
    b.
    Of speech, long, at length, diffusely:

    haec dixi longius quam instituta ratio postulabat,

    Cic. Or. 48, 162:

    longius aliquid circumducere,

    Quint. 10, 2, 17.—
    c.
    Longe esse, abesse.
    (α).
    To be far away, i. e. to be of no assistance, of no avail:

    longe iis fraternum nomen populi Romani afuturum,

    Caes. B. G. 1, 36:

    longe illi dea mater erit,

    Verg. A. 12, 52:

    quam tibi nunc longe regnum dotale Creusae,

    Ov. H. 12, 53:

    longe conjugia, ac longe Tyrios hymenaeos Inter Dardanias acies fore,

    Sil. 17, 80; Petr. 58.—
    (β).
    Longe esse ab aliqua re, to be far from, i. e. destitute of a thing:

    ut ab eloquentia longissime fuerint,

    Quint. 8 prooem. § 3.—
    d.
    Widely, greatly, much, very much, by far; esp. with sup. and ( poet. and post-Aug. = multo) comp.:

    errat longe,

    Ter. Ad. 1, 1, 40:

    longe ante videre,

    Cic. Tusc. 3, 14; Liv. 1, 19, 12:

    longe melior,

    Verg. A. 9, 556:

    minor,

    Liv. 24, 28, 5:

    longe acrius,

    Tac. A. 4, 40:

    praestantior,

    Curt. 10, 3, 10; Suet. Calig. 5; Quint. 10, 1, 67:

    tumultuosior,

    Vell. 2, 74:

    proelium longe magis prosperum,

    id. 2, 51:

    longe omnium longissima est,

    Plaut. Most. 8, 3, 8:

    longe nobilissimus,

    Caes. B. G. 1, 2:

    longe doctissimus,

    Hor. S. 1, 5, 3:

    longe plurimum ingenio valuisse videtur,

    Cic. Brut. 14, 35:

    longe princeps,

    id. Fam. 13, 13:

    longe praestare,

    id. Brut. 64, 230:

    ceteris antecellere,

    id. Verr. 2, 4, 53, § 118:

    anteponere alicui rei aliquid,

    id. de Or. 1, 21, 98:

    dissentire,

    id. Lael. 9, 32 init.:

    quod longe secus est,

    id. ib. 9, 29 fin.:

    longe aliter se habet ac,

    id. Ac. 2, 31, 101:

    longe dissimilis contentio,

    id. Sull. 17, 49:

    longe ante alias specie insignis,

    Liv. 1, 9:

    sciunt longe aliud esse virgines rapere, aliud pugnare cum viris,

    id. 1, 12, 8:

    longe mihi alia mens est,

    Sall. C. 52, 2:

    a quo mea longissime ratio... abhorrebat,

    Cic. Verr. 2, 2, 4, § 10:

    longissime diversa ratio est,

    id. Phil. 5, 18, 49:

    (istae facultates) longe sunt diversae,

    id. de Or. 1, 49, 215:

    longe omnes multumque superare,

    id. Verr. 2, 5, 44, § 115:

    longe et multum antecellere,

    id. Mur. 13, 29.—Repeated:

    plurimum et longe longeque plurimum tribuere honestati,

    Cic. Fin. 2, 21, 68:

    sed longe cunctis longeque potentior illa,

    Ov. M. 4, 325; so Gell. 14, 1.—
    e.
    In post-class. Lat. = valde:

    longe gravis,

    Stat. Th. 10, 140:

    longe opulentus,

    App. M. 1, p. 112, 1:

    par studiis aevique modis sed robore longe (sc. impar),

    far from equal, Stat. Achill. 1, 176.—
    * B.
    Form longĭter, far:

    non, ut opinor, id a leto jam longiter errat,

    Lucr. 3, 676.—
    C.
    Form longum, long, a long while ( poet.):

    nimis longum loquor,

    Plaut. Ep. 3, 2, 40:

    nimis diu et longam loquor,

    id. Ps. 2, 3, 21:

    nec longum laetabere,

    Verg. A. 10, 740; Ov. M. 5, 65:

    clamare,

    Hor. A. P. 459; Juv. 6, 65; Stat. Th. 7, 300; 10, 467.

    Lewis & Short latin dictionary > longus

  • 8 absum

    ab-sum, āfuī, āfutūrus, abesse (ἄπειμι), weg-, fortsein (Ggstz. adesse), I) infolge einer Bewegung (Abwesenheit); dah. 1) im allg., weg-, nicht dasein, entfernt-, abwesend sein, ab domo, Plaut. u. Liv.: ab domo, ab re familiari paulo diutius, Liv.: ab urbe u. ex urbe, Cic.: ab alqo, Cic. – domo et foro, Cic.: nuptā lentus abesse tuā, Ov. – abesse longe, Cic.: longe gentium, Cic.: non longe hinc, Plaut.: propius, Cic.: procul, Cic.: tres menses, Ter. – dah. quare me, qui nullā lege abessem (abwesend [= in der Verbannung] sei), non restitui lege, sed revocari senatus auctoritate oportere, Cic. Sest. 73. – 2) insbes.: a) von der Teilnahme an etw. entfernt sein od. bleiben, wegbleiben, nicht teilnehmen, einer Sache nicht beiwohnen, einer Sache fern stehen, mit etw. nichts zu schaffen haben (Ggstz. adesse), ab hoc concilio, Caes.: a periculis, sich fern halten, Sall.: ab his studiis, Cic. – m. Abl., toto bello, Caes.: publicis consiliis, Liv. – afuisse in altercationibus, Cic. – b) alci od. ab alqo, mit seinem Beistande nicht dasein, fehlen, jmdm. nicht beistehen (versch. von deesse, jmd. im Stiche lassen), bes. als Verteidiger vor Gericht (Ggstz. alci adesse, alqm defendere, s. Halm zu Cic. Sull. 7 ed. mai.), qui Autronio non afuerim, Cic.: ne longe tibi Iuppiter absit, Ov.: nec dextrae erranti deus afuit, Verg.: et quo plus intererat, eo plus aberas a me, je mehr ich deines Beistandes bedurfte, desto mehr verließest du mich, Cic.: longe iis fraternum nomen P.R. afuturum, werde ihnen nirgends etwas helfen, Caes. – absol., nusquam abero, Verg.: nobis absentibus, ohne unser Dazutun, Cic. – c) geistig abwesend sein, cum milite isto praesens absens ut sies, Ter. Eun. 192. – d) nicht dasein, fern sein, verbannt sein, dah. auch abgehen, u. in diesem Sinne = fehlen (versch. von deesse, mangeln, vermißt werden; vgl. Sorof Cic. de or. 1, 48), hoc unum illi, si nihil utilitatis habebat, afuit (war nicht da), si opus erat, defuit (fehlte, wurde vermißt), Cic.: studium semper adsit, cunctatio absit, Cic.: denique isto bono utare dum adsit; cum absit, ne requiras, Cic.: semper aves quod abest, Lucr.: praeter idoneum ducem nihil abest ad subvortendum imperium, Sall. fr. – m. ab u. Abl., unum a praetura tua abest, Plaut.: neque corpus neque animus a vobis aberit, Sall. – m. Dat., quid enim abest huic homini, quod si adesset, iure haec ei tribui et concedi putaremus, Cic.: si cui dentes vetustate absunt, Varr.: abest luctamen remo, man rudert ohne Anstrengung, Verg.: abest enim historia litteris nostris, Cic.: fraudem et sermoni et rei abesse, Liv.: cum partem abesse numero sensisset, Liv.: ratus pluribus curam, omnibus afuisse fortunam, Curt.

    II) infolge der Lage (Abstand); dah. 1) eig., von einem Punkte (räumlich od. zeitlich) weg-, entfernt-, getrennt sein, abstehen, m. ab od. m. bl. Abl. u. absol., sowie mit u. ohne Bezeichnung des (räumlichen od. zeitlichen) Abstandes, paulum ab eius villa, Cic.: ab urbe milia passuum ducenta, Cic.: plus mille passibus a mari (v. einer Villa), Liv. fr.: quinque dierum iter ab Carthagine (v. einer Stadt), Liv.: bidui (v. Lager), Cic.: quatridui iter Laodiceā, Cic.: quatridui ab Autronio, Cic.: aequo spatio, Caes.: bidui spatio ab eo, Cic.: septem milium intervallo, Caes.: milibus passuum quattuor, Caes.: haud longe abesse potest, es muß nicht weit von hier sein, Plaut.: quoniam propius abes, weil du dort näher bist, Cic. – 2) übtr.: a) übh., von etw. entfernt sein, fern stehen, id enim vero hinc nunc abest, das liegt jetzt im weiten Felde, daran ist gegenwärtig nicht zu denken, Ter.: quod abest longissime, Cic.: u. so ab. longissime a vero, Cic.: longe a spe, Cic.: procul seditione, Liv.: paulum a capienda urbe, die Stadt beinahe einnehmen, Iustin.: cum ego ab ista laude non absim, mir dieser Ruhm nicht abgesprochen werden kann, Cic. – ille longe aberit, ut credat, wird weit entfernt sein zu glauben, Cic.: tantum aberat a bello, ut etc., Cic.: tantum afuit ab insolentia gloriae, ut etc., Nep.: tantum a paenitentia afuit, ut etc., Val. Max.: a quibus longe absunt, ut perseverent, Augustin. de civ. dei 9, 16, 1: sperare videor tantum afuturam esse orationem meam a minima suspicione offensionis tuae, te ut potius obiurgem, quam ut ego etc., Cic.; u. so die unpers. haud multum od. haud (non, nec) procul abest od. non longe abest od. paulum (paululum) abest, quin etc., es ist nicht weit entfernt od. nahe dabei, es fehlt nicht viel, daß usw., beinahe möchte usw. (s. Zumpt § 540), Cic., Caes. u.a.; so auch non multum abest ab eo, quin etc., Caes. b.G. 5, 2, 2: neque longius abesse, quin etc., es fehle gar nicht viel, daß er usw., er sei darauf u. daran, zu usw., Caes. b.G. 3, 18, 4: minimum abest, quin etc., Suet. Aug. 14: paulo afuit, quin, Ammian.: nihil afore credunt, quin etc., es könne nicht fehlen, Verg. Aen. 8, 147: quid abest, quin etc., Liv. 8, 4, 2. Val. Max. 5, 3. ext. 3: abesse non potest, quin etc., Gracch. b. Cic. or. 233 u. Gell. 11, 13, 3: spätlat., parum abest, quin etc., Donat. vit. Verg. c. 8: u. persönl., haud multum afuere, quin opera perrumperent, Liv. fr. 36 (bei Prisc. 6, 22): nec ita multum omnes afuisse, quin accusatorem potius dementiae accusarent, Apul. apol. 37: adeo vehementer talum inverti, ut minimum afuerim, quin articulum etiam a crure defregerim, Apul. flor. 16. – Dah. die Redensart tantum abest, ut... ut, weit entfernt, daß... ist usw., deren Entstehung durch folgende drei Stellen deutlich wird: id tantum abest officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic. de off. 1, 43: tantum abest ab eo, ut malum mors sit, ut verear, ne etc., Cic. Tusc. 1, 76 (vgl. Liv. 25, 6, II): u. so zuletzt: ego vero istos tantum abest ut ornem, ut effici non possit, quin eos oderim, d.i. weit entfernt, daß... vielmehr usw., Cic. Phil. 11, 36. – persönl. gebr., hoc detrimento milites nostri tantum afuerunt ut perturbarentur, ut incensi atque incitati magnas accessiones fecerint in operibus hostium expugnandis, Auct. b. Alex. 22, 1. – Spätlat., tantum aberat quominus aliquid nuntiaretur, ut etiam quae gesta non fuerant adicerentur, Heges. 3, 21, 1. – Zuw. tritt der zweite Satz, wie im Deutschen, auch selbständig auf, tantum afuit, ut inflammares nostros animos; somnum isto loco vix tenebamus, Cic. Brut. 278 (u. so Cic. de fin. 5, 57; ad Att. 13, 21, 5); od. es bildet das einfache tantum abest ut einen bloßen Nachsatz, wie Cic. ad Att. 6, 2, 1. – auch steht im zweiten Satz ut etiam, ut quoque, wie Cic. ep. 12, 15, 4. Suet. Tib. 50, 1; seltener ut contra, wie Liv. 6, 31, 4. – Spätlat. statt des ersten ut der Infinit., tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de etc., Amm. 15, 5, 36. – b) von etw. Unangenehmem entfernt-, also davon befreit-, frei sein, a culpa, Cic.: nihil a me abesse longius crudelitate, Caes. in Cic. ep.: a cupiditate pecuniae, Nep.: a reprehensione temeritatis absum, der Vorwurf bei Unbesonnenheit trifft mich nicht, Planc. in Cic. ep.: afuimus dolori, vergaßen den Schmerz, Ov. – c) v. ungehörigen, unangenehmen, lästigen Personen od. Dingen selbst, fern sein od. bleiben, si vis afuisset, Liv. fr. 49 (50) bei Sen. suas. 6, 22. – bes. in der Wunschformel absit = fern sei od. bleibe, m. ab u. Abl., carnifex vero et obductio capitis et nomen ipsum crucis absit non modo a corpore civium Romanorum, sed etiam a cogitatione, oculis, auribus, Cic.: absint et picti squalentia terga lacerti pinguibus a stabulis, Verg.: u. absol., vos quoque abesse iubeo, Tibull.: procul absit gloria vulgi, Tibull.: absit periculum, Sall. fr.: dolus malus abesto! Not. Tir.: u. bes. absit invidia verbo od. absit verbo invidia, fern sei Vermessenheit der Rede, Liv.: u. so bl. absit invidia, Curt. – Dah. im Spätlat. die Formel absit m. folg. ut od. Infinit. = es sei ferne, Gott wolle verhüten, daß usw., Apul. u. Sulpic. Sev.: u. procul absit, Stat., od. quod absit, Apul., das sei ferne, das wolle Gott verhüten! – d) mit Willen, aus innerem Trieb u. dgl. von etw. entfernt, also ihm abgeneigt sein, a consilio fugiendi, Cic.: a periculis, sich von den Gefahren entfernt halten, Cic. – e) mit Rücksicht auf die Beschaffenheit od. Eigenschaft einer Sache od. Pers. fern sein, fern stehen, von etw. abweichen, quod certe abest a tua virtute et fide, Brut. in Cic. ep.: istae κολακειαι non longe absunt a scelere, Cic. – bei Vergleichen höher stehen, im Vorteil sein, nullā re magis absumus a natura ferarum, Cic.: qui longissime a te afuit, Cic. – u. tiefer stehen, weit nachstehen, multum ab iis, Cic.; u. so Hor. de art. poët. 370. – f) von etw. noch fern sein, etw. nicht erreichen, a nitore Ciceronis, Quint.: a virtute alcis, Hor. – g) sich für etw. nicht eignen, sich nicht schicken, zu etw. nicht passen, ab forensi condicione, Cic.: a principis persona, Nep. – / statt abfui, abforem, abfore u. abfuturus haben die besten Handschriften u. auch die Ausgaben afui, aforem, afore, afuturus, s. Halm zu Cic. Sull. 7. p. 60 ed. mai. Osann zu Cic. de rep. 2, 69. p. 243. Heindorf zu Hor. sat. 1, 4, 104. Vgl. Neue-Wagener Formenl.3 2, 836 f. – arch. Konj. Präs. absiet, Cato r.r. 19, 1. – Form abfuat = absit, zweifelh. bei Fronto ep. ad am. 1, 14. p. 184 N. (viell. mit Eckstein abludat zu lesen).

    / Partic., absēns, tis, abwesend, a) v. Menschen (Ggstz. praesens, coram), α) räumlich: me absente, in meiner Abwesenheit, Cic.: te praesente absente, du magst da sein od. nicht, Ter.: absente nobis, Ter. eun. 649. – Dah. v. Verbannten, absens mecum in gratiam rediit, Cic. – v. Verstorbenen, absentes (poëtae) sunt pro praesentibus, Plaut. Cas. prol. 20; u. so Vitr. 7. pr. § 8. – u. von solchen, die, obgleich in Rom, bei öffentlichen Bewerbungen nicht als Mitbewerber erscheinen, Cic. de rep. 6, 11 (u. dazu Moser). Liv. 4, 42, 1 (u. dazu Drak.). – u. von solchen, die sich nicht vor Gericht stellen, de absente iudicare, Cic.; vgl. Halm zu Cic. Verr. 4, 40. – b) von Orten u. Dingen, entfernt, Rhodos, urbs, Hor.: rogus, Mart.: comae, nicht wirklich vorhandene, falsche, Mart. – versus absentes dicere, auswendig hersagen, Gell. 20, 10, 4. – c) geistig nicht bei der Sache, abwesend, mente ac sensu absentissimus, Augustin. confess. 4, 4.

    lateinisch-deutsches > absum

  • 9 absum

    ab-sum, āfuī, āfutūrus, abesse (ἄπειμι), weg-, fortsein (Ggstz. adesse), I) infolge einer Bewegung (Abwesenheit); dah. 1) im allg., weg-, nicht dasein, entfernt-, abwesend sein, ab domo, Plaut. u. Liv.: ab domo, ab re familiari paulo diutius, Liv.: ab urbe u. ex urbe, Cic.: ab alqo, Cic. – domo et foro, Cic.: nuptā lentus abesse tuā, Ov. – abesse longe, Cic.: longe gentium, Cic.: non longe hinc, Plaut.: propius, Cic.: procul, Cic.: tres menses, Ter. – dah. quare me, qui nullā lege abessem (abwesend [= in der Verbannung] sei), non restitui lege, sed revocari senatus auctoritate oportere, Cic. Sest. 73. – 2) insbes.: a) von der Teilnahme an etw. entfernt sein od. bleiben, wegbleiben, nicht teilnehmen, einer Sache nicht beiwohnen, einer Sache fern stehen, mit etw. nichts zu schaffen haben (Ggstz. adesse), ab hoc concilio, Caes.: a periculis, sich fern halten, Sall.: ab his studiis, Cic. – m. Abl., toto bello, Caes.: publicis consiliis, Liv. – afuisse in altercationibus, Cic. – b) alci od. ab alqo, mit seinem Beistande nicht dasein, fehlen, jmdm. nicht beistehen (versch. von deesse, jmd. im Stiche lassen), bes. als Verteidiger vor Gericht (Ggstz. alci adesse, alqm defendere, s. Halm zu Cic. Sull. 7 ed. mai.), qui Autronio non afuerim, Cic.: ne longe tibi Iuppiter absit, Ov.: nec dextrae erranti deus afuit, Verg.: et quo plus intererat, eo plus aberas a
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    me, je mehr ich deines Beistandes bedurfte, desto mehr verließest du mich, Cic.: longe iis fraternum nomen P.R. afuturum, werde ihnen nirgends etwas helfen, Caes. – absol., nusquam abero, Verg.: nobis absentibus, ohne unser Dazutun, Cic. – c) geistig abwesend sein, cum milite isto praesens absens ut sies, Ter. Eun. 192. – d) nicht dasein, fern sein, verbannt sein, dah. auch abgehen, u. in diesem Sinne = fehlen (versch. von deesse, mangeln, vermißt werden; vgl. Sorof Cic. de or. 1, 48), hoc unum illi, si nihil utilitatis habebat, afuit (war nicht da), si opus erat, defuit (fehlte, wurde vermißt), Cic.: studium semper adsit, cunctatio absit, Cic.: denique isto bono utare dum adsit; cum absit, ne requiras, Cic.: semper aves quod abest, Lucr.: praeter idoneum ducem nihil abest ad subvortendum imperium, Sall. fr. – m. ab u. Abl., unum a praetura tua abest, Plaut.: neque corpus neque animus a vobis aberit, Sall. – m. Dat., quid enim abest huic homini, quod si adesset, iure haec ei tribui et concedi putaremus, Cic.: si cui dentes vetustate absunt, Varr.: abest luctamen remo, man rudert ohne Anstrengung, Verg.: abest enim historia litteris nostris, Cic.: fraudem et sermoni et rei abesse, Liv.: cum partem abesse numero sensisset, Liv.: ratus pluribus curam, omnibus afuisse fortunam, Curt.
    II) infolge der Lage (Abstand); dah. 1) eig., von einem Punkte (räumlich od. zeitlich) weg-, entfernt-,
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    getrennt sein, abstehen, m. ab od. m. bl. Abl. u. absol., sowie mit u. ohne Bezeichnung des (räumlichen od. zeitlichen) Abstandes, paulum ab eius villa, Cic.: ab urbe milia passuum ducenta, Cic.: plus mille passibus a mari (v. einer Villa), Liv. fr.: quinque dierum iter ab Carthagine (v. einer Stadt), Liv.: bidui (v. Lager), Cic.: quatridui iter Laodiceā, Cic.: quatridui ab Autronio, Cic.: aequo spatio, Caes.: bidui spatio ab eo, Cic.: septem milium intervallo, Caes.: milibus passuum quattuor, Caes.: haud longe abesse potest, es muß nicht weit von hier sein, Plaut.: quoniam propius abes, weil du dort näher bist, Cic. – 2) übtr.: a) übh., von etw. entfernt sein, fern stehen, id enim vero hinc nunc abest, das liegt jetzt im weiten Felde, daran ist gegenwärtig nicht zu denken, Ter.: quod abest longissime, Cic.: u. so ab. longissime a vero, Cic.: longe a spe, Cic.: procul seditione, Liv.: paulum a capienda urbe, die Stadt beinahe einnehmen, Iustin.: cum ego ab ista laude non absim, mir dieser Ruhm nicht abgesprochen werden kann, Cic. – ille longe aberit, ut credat, wird weit entfernt sein zu glauben, Cic.: tantum aberat a bello, ut etc., Cic.: tantum afuit ab insolentia gloriae, ut etc., Nep.: tantum a paenitentia afuit, ut etc., Val. Max.: a quibus longe absunt, ut perseverent, Augustin. de civ. dei 9, 16, 1: sperare videor tantum afuturam esse orationem meam a minima suspicione offensionis tuae, te ut potius
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    obiurgem, quam ut ego etc., Cic.; u. so die unpers. haud multum od. haud (non, nec) procul abest od. non longe abest od. paulum (paululum) abest, quin etc., es ist nicht weit entfernt od. nahe dabei, es fehlt nicht viel, daß usw., beinahe möchte usw. (s. Zumpt § 540), Cic., Caes. u.a.; so auch non multum abest ab eo, quin etc., Caes. b.G. 5, 2, 2: neque longius abesse, quin etc., es fehle gar nicht viel, daß er usw., er sei darauf u. daran, zu usw., Caes. b.G. 3, 18, 4: minimum abest, quin etc., Suet. Aug. 14: paulo afuit, quin, Ammian.: nihil afore credunt, quin etc., es könne nicht fehlen, Verg. Aen. 8, 147: quid abest, quin etc., Liv. 8, 4, 2. Val. Max. 5, 3. ext. 3: abesse non potest, quin etc., Gracch. b. Cic. or. 233 u. Gell. 11, 13, 3: spätlat., parum abest, quin etc., Donat. vit. Verg. c. 8: u. persönl., haud multum afuere, quin opera perrumperent, Liv. fr. 36 (bei Prisc. 6, 22): nec ita multum omnes afuisse, quin accusatorem potius dementiae accusarent, Apul. apol. 37: adeo vehementer talum inverti, ut minimum afuerim, quin articulum etiam a crure defregerim, Apul. flor. 16. – Dah. die Redensart tantum abest, ut... ut, weit entfernt, daß... ist usw., deren Entstehung durch folgende drei Stellen deutlich wird: id tantum abest officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic. de off. 1, 43: tantum abest ab eo, ut malum mors sit, ut verear, ne etc., Cic. Tusc. 1, 76 (vgl. Liv. 25, 6, II): u. so zu-
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    letzt: ego vero istos tantum abest ut ornem, ut effici non possit, quin eos oderim, d.i. weit entfernt, daß... vielmehr usw., Cic. Phil. 11, 36. – persönl. gebr., hoc detrimento milites nostri tantum afuerunt ut perturbarentur, ut incensi atque incitati magnas accessiones fecerint in operibus hostium expugnandis, Auct. b. Alex. 22, 1. – Spätlat., tantum aberat quominus aliquid nuntiaretur, ut etiam quae gesta non fuerant adicerentur, Heges. 3, 21, 1. – Zuw. tritt der zweite Satz, wie im Deutschen, auch selbständig auf, tantum afuit, ut inflammares nostros animos; somnum isto loco vix tenebamus, Cic. Brut. 278 (u. so Cic. de fin. 5, 57; ad Att. 13, 21, 5); od. es bildet das einfache tantum abest ut einen bloßen Nachsatz, wie Cic. ad Att. 6, 2, 1. – auch steht im zweiten Satz ut etiam, ut quoque, wie Cic. ep. 12, 15, 4. Suet. Tib. 50, 1; seltener ut contra, wie Liv. 6, 31, 4. – Spätlat. statt des ersten ut der Infinit., tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de etc., Amm. 15, 5, 36. – b) von etw. Unangenehmem entfernt-, also davon befreit-, frei sein, a culpa, Cic.: nihil a me abesse longius crudelitate, Caes. in Cic. ep.: a cupiditate pecuniae, Nep.: a reprehensione temeritatis absum, der Vorwurf bei Unbesonnenheit trifft mich nicht, Planc. in Cic. ep.: afuimus dolori, vergaßen den Schmerz, Ov. – c) v. ungehörigen, unangenehmen, lästigen Personen od. Dingen selbst, fern sein
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    od. bleiben, si vis afuisset, Liv. fr. 49 (50) bei Sen. suas. 6, 22. – bes. in der Wunschformel absit = fern sei od. bleibe, m. ab u. Abl., carnifex vero et obductio capitis et nomen ipsum crucis absit non modo a corpore civium Romanorum, sed etiam a cogitatione, oculis, auribus, Cic.: absint et picti squalentia terga lacerti pinguibus a stabulis, Verg.: u. absol., vos quoque abesse iubeo, Tibull.: procul absit gloria vulgi, Tibull.: absit periculum, Sall. fr.: dolus malus abesto! Not. Tir.: u. bes. absit invidia verbo od. absit verbo invidia, fern sei Vermessenheit der Rede, Liv.: u. so bl. absit invidia, Curt. – Dah. im Spätlat. die Formel absit m. folg. ut od. Infinit. = es sei ferne, Gott wolle verhüten, daß usw., Apul. u. Sulpic. Sev.: u. procul absit, Stat., od. quod absit, Apul., das sei ferne, das wolle Gott verhüten! – d) mit Willen, aus innerem Trieb u. dgl. von etw. entfernt, also ihm abgeneigt sein, a consilio fugiendi, Cic.: a periculis, sich von den Gefahren entfernt halten, Cic. – e) mit Rücksicht auf die Beschaffenheit od. Eigenschaft einer Sache od. Pers. fern sein, fern stehen, von etw. abweichen, quod certe abest a tua virtute et fide, Brut. in Cic. ep.: istae κολακειαι non longe absunt a scelere, Cic. – bei Vergleichen höher stehen, im Vorteil sein, nullā re magis absumus a natura ferarum, Cic.: qui longissime a te afuit, Cic. – u. tiefer stehen, weit nachstehen, multum ab iis, Cic.; u. so Hor. de art.
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    poët. 370. – f) von etw. noch fern sein, etw. nicht erreichen, a nitore Ciceronis, Quint.: a virtute alcis, Hor. – g) sich für etw. nicht eignen, sich nicht schicken, zu etw. nicht passen, ab forensi condicione, Cic.: a principis persona, Nep. – statt abfui, abforem, abfore u. abfuturus haben die besten Handschriften u. auch die Ausgaben afui, aforem, afore, afuturus, s. Halm zu Cic. Sull. 7. p. 60 ed. mai. Osann zu Cic. de rep. 2, 69. p. 243. Heindorf zu Hor. sat. 1, 4, 104. Vgl. Neue-Wagener Formenl.3 2, 836 f. – arch. Konj. Präs. absiet, Cato r.r. 19, 1. – Form abfuat = absit, zweifelh. bei Fronto ep. ad am. 1, 14. p. 184 N. (viell. mit Eckstein abludat zu lesen).
    Partic., absēns, tis, abwesend, a) v. Menschen (Ggstz. praesens, coram), α) räumlich: me absente, in meiner Abwesenheit, Cic.: te praesente absente, du magst da sein od. nicht, Ter.: absente nobis, Ter. eun. 649. – Dah. v. Verbannten, absens mecum in gratiam rediit, Cic. – v. Verstorbenen, absentes (poëtae) sunt pro praesentibus, Plaut. Cas. prol. 20; u. so Vitr. 7. pr. § 8. – u. von solchen, die, obgleich in Rom, bei öffentlichen Bewerbungen nicht als Mitbewerber erscheinen, Cic. de rep. 6, 11 (u. dazu Moser). Liv. 4, 42, 1 (u. dazu Drak.). – u. von solchen, die sich nicht vor Gericht stellen, de absente iudicare, Cic.; vgl. Halm zu Cic. Verr. 4, 40. – b) von Orten u. Dingen, entfernt, Rhodos, urbs, Hor.:
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    rogus, Mart.: comae, nicht wirklich vorhandene, falsche, Mart. – versus absentes dicere, auswendig hersagen, Gell. 20, 10, 4. – c) geistig nicht bei der Sache, abwesend, mente ac sensu absentissimus, Augustin. confess. 4, 4.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > absum

  • 10 absum

    absum, ăbesse, āfŭi (abfŭi), āfŭtūrus, intr.    - voir l'article absum de Gaffiot.    - inf. fut. abfŏre (āfŏre).    - abfŏrem... (āfŏrem...) = abessem...    - les formes abfui, abforem, abfore, abfuturus ont moins d’autorité --- subj. prés. absiet Cato Agr. 19, 1 ; abfuat = absit Front p. 184, 4 --- formes apsum, apsens, dans quelques mss de Plaut. et Cic. [st1]1 [-] être absent, être hors de.    - abesse ab domo: être hors de chez soi.    - ab (ex) Urbe abesse, Cic.: être absent de Rome.    - abesse (ab) aliquo: n'être pas auprès de qqn.    - abesse in loco, Ov.: être ailleurs.    - in propinqua oppida aberat, Suet.: il s'absentait pour se rendre dans les villes voisines. [st1]2 [-] se tenir éloigné de, manquer à, faire défaut à; ne pas assister (qqn), ne pas secourir (qqn).    - quaerere quod abest, Ter.: chercher ce qui manque.    - unum a praetura tua abest, Plaut.: une seule chose manque à ta préture.    - abest historia litteris nostris (dat.), Cic.: l'histoire manque à notre littérature.    - neque animus neque corpus a vobis aberit, Sall.: ni mon coeur ni mon bras ne vous feront défaut.    - abesse alicui: ne pas assister qqn, ne pas secourir qqn.    - qui Antonio afuerim, Cic. Sull. 5: moi qui n'ai pas défendu Antonius.    - qui Autronio non afuerim, Cic.: moi qui n'ai pas manqué d'assister Autronius.    - absentibus nobis, Cic. Ac. 2: sans notre aide. [st1]3 [-] être éloigné de, être distant de.    - abesse ab Urbe millia passuum ducenta, Cic.: être à deux cent milles de Rome.    - quoniam propius abes, Cic.: puisque tu es plus près.    - ille longissime abest ut credat, Cic.: il est bien éloigné de croire.    - multum (longe) abest ut: il s'en faut de beaucoup que.    - non multum (non longe, paulum) abest quin: il ne s'en faut pas de beaucoup que.    - haud multum afuit quin interficeretur: il s'en fallut de peu qu'il ne fût tué (il a bien failli être tué).    - nos si pellant, nihil afore credunt, quin omnem Hesperiam sua sub juga mittant, Virg. En. 8: s'ils nous repoussaient, rien ne les empêcherait, croient-ils, de soumettre à leur joug l'Hespérie tout entière.    - tantum abest ut... Cic.: tant s'en faut que...    - tantum a poenitentia afuit ut... Val.-Max.: il fut fut si loin de se repentir que...    - id tantum abest ab officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic.: cela est tellement différent du devoir que rien ne peut lui être plus contraire.    - tantum abest ut... ut etiam...: tant s'en faut que... que, au contraire...    - tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de Gallicanis intercepta thesauris, Amm. 15: loin de louer les marques de son zèle actif, il signalait même, dans ses lettres, certains détournements effectués au préjudice du trésor public des Gaules.    - tantum abest ut gratiam quaesisse videar ut multas susceperim simultates, Cic.: bien loin de paraître chercher à me rendre populaire, je me suis fait beaucoup d'ennemis.    - quid abest quin pareamus? Liv.: pourquoi hésiter à obéir ([à quoi tient-il que nous obéissions])?    - scimus musicen nostris moribus abesse a principis personâ, Nep. Ep. 1, 2: nous savons que, d'après nos moeurs, la musique [est éloignée d'un personnage de premier plan] = ne convient pas à un personnage de premier plan.    - quae absunt ab forensi contentione, Cic.: qui ne conviennet pas à un débat public. [st1]4 [-] se tenir loin de, s'abstenir, être exempt de.    - abesse a bello (abesse bello), Caes.: ne pas prendre part à la guerre.    - afuit a societate sceleris, Nep.: il n'a pas pris part au crime.    - abesse a reprehensione, Cic.: être à l'abri d'un reproche.    - abesse a culpa: [être éloigné d'une faute] = être exempt de reproche, n'avoir rien à se reprocher, être innocent, être irréprochable. [st1]5 [-] avoir de l'éloignement pour, répugner, être contraire à.    - a consilio fugiendi absum, Cic.: je répugne à l'idée de fuir.    - quod abest a tua fide, Brut. ap. Cic.: ce qui est contraire à ta franchise. absim...: subj. prés. de absum (il s'emploie souvent comme formule de déprécation).    - pauperies immunda procul absit, Hor.: loin de moi la hideuse pauvreté.    - vos procul absitis, qui... Tib.: arrière, vous qui...    - absit invidia verbo, Liv.: soit dit sans offenser personne.    - quod absit! Apul.: ce qu'aux dieux ne plaise!    - absit te quaerere, S. Sev.: garde-toi de chercher.    - absit ut... Tert.: loin de moi la pensée de... [st1]6 [-] différer, être supérieur ou être inférieur.    - longe a te abfuit, Cic.: il t'a distancé de beaucoup (dans une élection).
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    absum, ăbesse, āfŭi (abfŭi), āfŭtūrus, intr.    - voir l'article absum de Gaffiot.    - inf. fut. abfŏre (āfŏre).    - abfŏrem... (āfŏrem...) = abessem...    - les formes abfui, abforem, abfore, abfuturus ont moins d’autorité --- subj. prés. absiet Cato Agr. 19, 1 ; abfuat = absit Front p. 184, 4 --- formes apsum, apsens, dans quelques mss de Plaut. et Cic. [st1]1 [-] être absent, être hors de.    - abesse ab domo: être hors de chez soi.    - ab (ex) Urbe abesse, Cic.: être absent de Rome.    - abesse (ab) aliquo: n'être pas auprès de qqn.    - abesse in loco, Ov.: être ailleurs.    - in propinqua oppida aberat, Suet.: il s'absentait pour se rendre dans les villes voisines. [st1]2 [-] se tenir éloigné de, manquer à, faire défaut à; ne pas assister (qqn), ne pas secourir (qqn).    - quaerere quod abest, Ter.: chercher ce qui manque.    - unum a praetura tua abest, Plaut.: une seule chose manque à ta préture.    - abest historia litteris nostris (dat.), Cic.: l'histoire manque à notre littérature.    - neque animus neque corpus a vobis aberit, Sall.: ni mon coeur ni mon bras ne vous feront défaut.    - abesse alicui: ne pas assister qqn, ne pas secourir qqn.    - qui Antonio afuerim, Cic. Sull. 5: moi qui n'ai pas défendu Antonius.    - qui Autronio non afuerim, Cic.: moi qui n'ai pas manqué d'assister Autronius.    - absentibus nobis, Cic. Ac. 2: sans notre aide. [st1]3 [-] être éloigné de, être distant de.    - abesse ab Urbe millia passuum ducenta, Cic.: être à deux cent milles de Rome.    - quoniam propius abes, Cic.: puisque tu es plus près.    - ille longissime abest ut credat, Cic.: il est bien éloigné de croire.    - multum (longe) abest ut: il s'en faut de beaucoup que.    - non multum (non longe, paulum) abest quin: il ne s'en faut pas de beaucoup que.    - haud multum afuit quin interficeretur: il s'en fallut de peu qu'il ne fût tué (il a bien failli être tué).    - nos si pellant, nihil afore credunt, quin omnem Hesperiam sua sub juga mittant, Virg. En. 8: s'ils nous repoussaient, rien ne les empêcherait, croient-ils, de soumettre à leur joug l'Hespérie tout entière.    - tantum abest ut... Cic.: tant s'en faut que...    - tantum a poenitentia afuit ut... Val.-Max.: il fut fut si loin de se repentir que...    - id tantum abest ab officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic.: cela est tellement différent du devoir que rien ne peut lui être plus contraire.    - tantum abest ut... ut etiam...: tant s'en faut que... que, au contraire...    - tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de Gallicanis intercepta thesauris, Amm. 15: loin de louer les marques de son zèle actif, il signalait même, dans ses lettres, certains détournements effectués au préjudice du trésor public des Gaules.    - tantum abest ut gratiam quaesisse videar ut multas susceperim simultates, Cic.: bien loin de paraître chercher à me rendre populaire, je me suis fait beaucoup d'ennemis.    - quid abest quin pareamus? Liv.: pourquoi hésiter à obéir ([à quoi tient-il que nous obéissions])?    - scimus musicen nostris moribus abesse a principis personâ, Nep. Ep. 1, 2: nous savons que, d'après nos moeurs, la musique [est éloignée d'un personnage de premier plan] = ne convient pas à un personnage de premier plan.    - quae absunt ab forensi contentione, Cic.: qui ne conviennet pas à un débat public. [st1]4 [-] se tenir loin de, s'abstenir, être exempt de.    - abesse a bello (abesse bello), Caes.: ne pas prendre part à la guerre.    - afuit a societate sceleris, Nep.: il n'a pas pris part au crime.    - abesse a reprehensione, Cic.: être à l'abri d'un reproche.    - abesse a culpa: [être éloigné d'une faute] = être exempt de reproche, n'avoir rien à se reprocher, être innocent, être irréprochable. [st1]5 [-] avoir de l'éloignement pour, répugner, être contraire à.    - a consilio fugiendi absum, Cic.: je répugne à l'idée de fuir.    - quod abest a tua fide, Brut. ap. Cic.: ce qui est contraire à ta franchise. absim...: subj. prés. de absum (il s'emploie souvent comme formule de déprécation).    - pauperies immunda procul absit, Hor.: loin de moi la hideuse pauvreté.    - vos procul absitis, qui... Tib.: arrière, vous qui...    - absit invidia verbo, Liv.: soit dit sans offenser personne.    - quod absit! Apul.: ce qu'aux dieux ne plaise!    - absit te quaerere, S. Sev.: garde-toi de chercher.    - absit ut... Tert.: loin de moi la pensée de... [st1]6 [-] différer, être supérieur ou être inférieur.    - longe a te abfuit, Cic.: il t'a distancé de beaucoup (dans une élection).
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        Absum, abes, priore breui, abfui, abesse. Estre absent.
    \
        Te abfuisse tandiu a nobis doleo. Cic. Que tu as esté si long temps arriere de nous, Hors d'avec nous.
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        Abesse a signis, etc. Plin. iun. S'esloigner du camp, de l'enseigne.
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        Non aberit longius. Terent. Il ne s'esloignera pas loing.
    \
        A periculo abesse. Plin. Estre hors des dangers, Estre loing du danger.
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        In altercationibus abesse. Cic. Ne se trouver point au debat.
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        Menses tres abest. Terent. Il y a trois mois qu'il est dehors.
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        Bidui spatio abest ab eo. Plancus Ciceroni. Il est à deux journees loing de luy.
    \
        Abesse bidui a castris. Cic. Estre à deux journees loing du camp.
    \
        Cuius hyberna aberant ab eo millia passuum XXV. Caes. Sa garnison estoit loing de luy XXV mille pas, ou le lieu de sa garnison.
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        Abest non longe a me. Cic. Il n'est pas fort loing de moy, ou de ma maison.
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        Non cogitas hinc longius abesse? Terent. Ne penses tu pas qu'il y ait bien loing d'ici?
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        Tu propius abes. Cic. Tu n'es pas fort loing.
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        Abesse propius a morte. Ci. Estre plus prochain, ou pres de la mort.
    \
        Multum abest ab iis. Cic. Il est beaucoup moindre que ceuls là, Il n'est point si excellent à beaucoup pres, Il n'en approche point, Il est bien loing de ceuls là.
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        Ab eo plurimum absum. Cic. Je n'ay garde de faire cela, J'en suis bien loing. \ Vnde longe absum. Cic. Dont je suis bien loing.
    \
        Abesse, pro Deesse. Plaut. Vnum a Praetura tua abest. Il s'en fault une chose, Il te default une chose.
    \
        Nummus abesse hinc non potest. Plaut. Il ne fault point qu'il s'en faille un tournois.
    \
        Quid ab his tot maleficiis sceleris abesse videtur? Cic. Quelle meschanceté s'en fault il qu'il n'ait faict?
    \
        Mihi animus etiam nunc abest. Plaut. Le courage ne m'est point encore revenu.
    \
        Quid abest huic homini, quod, etc. Cic. Qu'est ce qu'il default à cest homme, etc.
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        Vetustate dentes absunt. Varro. Defaillent, sont cheuts.
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        Id abest. Plaut. Il s'en fault cela.
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        Aliud nihil abest. Plaut. Il ne s'en fault que cela.
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        Vnus abest. Virgil. Il s'en fault un.
    \
        Ab omni contentione abesse. Cic. S'esloigner de toutes noises et debats.
    \
        Abesse a consilio fugiendi. Cic. N'estre point d'advis ou d'opinion de fuir.
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        Abesse a bello. Cic. Se tenir loing de la guerre, N'estre point à la guerre.
    \
        Abesse a bello, per translationem. Cic. N'estre point d'opinion de faire la guerre.
    \
        Abesse a crimine. Cic. N'estre point coulpable de quelque crime.
    \
        A culpa. Cic. Estre innocent de quelque chose.
    \
        A sententia alicuius. Cic. Estre contraire et loing de l'opinion de quelqu'un.
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        A qua suspicione ille aberat plurimum. Cic. Lequel ne povoit aucunement estre souspeconné de cela, Contre lequel on n'avoit matiere d'avoir tel souspecon.
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        Longissime a vero. Cic. Estre bien loing de la verité.
    \
        A vitiis. Cic. N'estre point entaché de vices.
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        Mea culpa abest. Cic. Ce n'est point ma faulte, On ne m'en peult donner le blasme.
    \
        Auaritiae absit suspicio. Cic. Qu'il n'y ait aucun souspecon d'avarice.
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        Procul a nobis absint ista. Plin. Soyent mis arriere.
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        Abesse longe a spe Consulatus. Cic. Estre loing d'esperance de povoir parvenir à estre Consul.
    \
        A cogitatione absit res ista. Cic. Qu'on n'y pense point.
    \
        Nunquam ab oculis meis abfuerunt. Cic. Je ne les ay jamais perdu de veue.
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        Abfuit virtus ab oculis fori et curiae. Cic. Ils n'ont point eu d'esgard à vertu, Ils n'ont point eu vertu devant les yeuls.
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        Longe aberit, vt argumentis credat philosophorum. Cic. Il n'est pas pres de croire, Il n'a garde de croire, Il est bien loing de croire, etc.
    \
        Nec multum abfuit, quin, etc. Liu. Il ne s'en fallut gueres que, etc.
    \
        Abesse non potest quin. Cic. Il ne peult estre que, etc. Il ne se peult faire que, etc.
    \
        Non aberit quin rideatur. Gell. Il ne s'en fauldra rien, qu'il ne soit mocqué.
    \
        Abesse alicui. Cic. Faillir de secours à aucun, Le laisser à son besoing sans le secourir.
    \
        Absit verbo inuidia. Liu. Que nul ne me scache mauvais gré de ce que je dis.
    \
        Tantum abest, vt meae rei familiaris, etc. Brutus Ciceroni. Tant s'en fault.

    Dictionarium latinogallicum > absum

  • 11 absum

    ab-sum, āfui (better than abfui), āfŭtārus (aforem, afore), v. n., in its most general signif., to be away from, be absent.
    I.
    In gen.
    A.
    Absol. without designating the distance (opp. adsum):

    num ab domo absum?

    Plaut. Ep. 5, 2, 16:

    me absente atque insciente,

    id. Trin. 1, 2, 130:

    domini ubi absunt,

    are not at home, not present, Ter. Eun. 3, 5, 53: facile aerumnam ferre possum, si inde abest injuria, Caecil. ap. Non. 430, 18.—
    B.
    With reference to the distance in space or time; which is expressed either by a definite number, or, in gen., by the advs. multum, paulum (not parum, v. below) longe, etc.:

    edixit, ut ab urbe abesset milia pass. ducenta,

    Cic. Sest. 12, 29:

    castra, quae aberant bidui,

    id. Att. 5, 16:

    hic locus aequo fere spatio ab castris Ariovisti et Caesaris aberat,

    Caes. B. G. 1, 43:

    haud longe abesse oportet,

    he ought not to be far hence, Plaut. Am. 1, 1, 166:

    legiones magnum spatium aberant,

    Caes. B. G. 2, 17:

    menses tres abest,

    Ter. Heaut. 1, 1, 66:

    haud permultum a me aberit infortunium,

    Ter. Heaut. 4, 2, 1; Cic. Fam. 2, 7.—With the simple abl. for ab:

    paulumque cum ejus villa abessemus,

    Cic. Ac. 1, 1 Görenz; but, ab ejus villa, B. and K.; cf.:

    nuptā abesse tuā,

    Ov. R. Am. 774.— With inter:

    nec longis inter se passibus absunt,

    Verg. A. 11, 907.—With prope, propius, proxime, to denote a short distance:

    nunc nobis prope abest exitium,

    is not far from, Plaut. Aul. 2, 3, 8;

    so with est: prope est a te Deus, tecum est,

    Sen. Ep. 41:

    loca, quae a Brundisio propius absunt, quam tu, biduum,

    Cic. Att. 8, 14:

    quoniam abes propius,

    since you are nearer, id. ib. 1, 1:

    existat aliquid, quod... absit longissime a vero,

    id. Ac. 2, 11, 36; so id. Deiot. 13; Caes. ap. Cic. Att. 9, 16 al.—Hence the phrase: tantum abest, ut—ut, so far from that, etc. (Zumpt, §

    779), the origin of which is evident from the following examples from Cic. (the first two of which have been unjustly assailed): id tantum abest ab officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Off. 1, 14 (with which comp. the person. expression: equidem tantum absum ab ista sententia, ut non modo non arbitrer... sed, etc.,

    id. de Or. 1, 60, 255):

    tantum abest ab eo, ut malum mors sit, ut verear, ne, etc.,

    id. Tusc. 1, 31, 76: ego vero istos tantum abest ut ornem, ut effici non possit, quin eos oderim, so far am I from that, id. Phil. 11, 14; sometimes etiam or quoque is added to the second clause, Lentul. ap. Cic. Fam. 12, 15, 2; Suet. Tib. 50; more rarely contra, Liv. 6, 31, 4. Sometimes the second ut is left out:

    tantum afuit, ut inflammares nostros animos: somnum isto loco vix tenebamus,

    Cic. Brut. 80, 278; on the contrary, once in Cic. with a third ut: tantum abest ut nostra miremur, ut usque eo difficiles ac morosi simus, ut nobis non satisfaciat ipse Demosthenes, Or. 29, 104.
    II.
    Hence,
    A.
    To be away from any thing unpleasant, to be freed or free from:

    a multis et magnis molestiis abes,

    Cic. Fam. 4, 3:

    a culpa,

    id. Rosc. Am. 20: a reprehensione temeritatis, Planc. ap. Cic. Fam. 10, 23.
    B.
    To be removed from a thing by will, inclination, etc.; to be disinclined to (syn. abhorreo)' a consilio fugiendi, Cic. Att. 7, 24:

    ab istis studiis,

    id. Planc. 25:

    ceteri a periculis aberant,

    kept aloof from, avoided, Sall. C. 6, 3. toto aberant bello, Caes. B. G. 7, 63.
    C.
    To be removed from a thing in regard to condition or quality, i. e. to be different from, to differ = abhorrere abest a tua virtute et fide, Brut. et Cass. ap. Cic. Fam. 11, 2: istae kolakeiai non longe absunt a scelere, id. Att. 13, 30:

    haec non absunt a consuetudine somniorum,

    id. Divin. 1, 21, [p. 13] 42.—Since improvement, as well as deterioration, may constitute the ground of difference, so absum may, according to its connection, designate the one or the other:

    nullā re longius absumus a naturā ferarum,

    in nothing are we more elevated above the nature of the brute, Cic. Off. 1, 16, 50;

    so also the much-contested passage,

    Cic. Planc. 7, 17: longissime Plancius a te afuit, i. e. valde, plurimis suffragiis, te vicit, was far from you in the number of votes, i. e. had the majority; v. Wunder ad Planc. proleg. p. 83 sq.; on the other hand, to be less, inferior: longe te a pulchris abesse sensisti, Cic. Fragm. ap. Non. 339, 23:

    multum ab eis aberat L. Fufius,

    id. Brut. 62, 222; so Hor. A. P. 370.
    D.
    Not to be suitable, proper, or fit for a thing:

    quae absunt ab forensi contentione,

    Cic. Or. 11, 37:

    ab principis personā,

    Nep. Ep. 1, 2.
    E.
    To be wanting, = desum, Pac. ap. Cic. Fin. 5, 11, 31 (Trag. Rel. p. 122 Rib.):

    unum a praeturā tuā abest,

    one thing is wanting to your praetorship, Plaut. Ep. 1, 1, 25: quaeris id quod habes;

    quod abest non quaeris,

    Ter. Heaut. 5, 4, 16; cf. Lucr. 3, 970 and 1095.—After Cicero, constr. in this signif. with dat.:

    quid huic abesse poterit de maximarum rerum scientiā?

    Cic. de Or. 1, 11, 48:

    abest enim historia litteris nostris,

    history is yet wanting to our literature, id. Leg. 2, 5.—So esp. in the poets:

    donec virenti canities abest morosa,

    Hor. C. 1, 9, 17; 3, 24, 64; Ov. M. 14, 371.—Hence the phrase non multum (neque multum), paulum, non (haud) procul, minimum, nihil abest, quin. not much, little, nothing is wanting that (Zumpt, Gr. § 540); but not parum, since parum in good classical authors does not correspond in meaning with non multum, but with non satis (v. parum):

    neque multum abesse ab eo, quin, etc.,

    Caes. B. G. 5, 2, 2; and absol.:

    neque multum afuit quin,

    id. B. C. 2, 35, 4:

    paulumque afuit quin, ib. § 2: legatos nostros haud procul afuit quin violarent,

    Liv. 5, 4 fin.:

    minimum afuit quin periret,

    was within a little of, Suet. Aug. 14:

    nihil afore credunt quin,

    Verg. A. 8, 147 al.
    F.
    Abesse alicui or ab aliquo, to be wanting to any one, to be of no assistance or service to (opp. adsum):

    ut mirari Torquatus desinat, me, qui Antonio afuerim, Sullam defendere,

    Cic. Sull. 5: facile etiam absentibus nobis ( without our aid) veritas se ipsa defendet, id. Ac. 2, 11, 36:

    longe iis fraternum nomen populi Romani afuturum,

    Caes. B. G. 1, 36. So also Cic. Planc. 5, 13: et quo plus intererat, eo plus aberas a me, the more I needed your assistance, the more you neglected me, v. Wunder ad h. l.; cf. also Sall. C. 20 fin.
    G.
    Cicero uses abesse to designate his banishment from Rome (which he would never acknowledge as such):

    qui nullā lege abessem,

    Cic. Sest. 34, 37; cf.: discessus. —Hence, absens, entis ( gen. plur. regul. absentium;

    absentum,

    Plaut. Stich. 1, 1, 5), P. a., absent (opp. praesens).
    A.
    In gen.:

    vos et praesentem me curā levatis et absenti magna solatia dedistis,

    Cic. Brut. 3, 11; so id. Off. 3, 33, 121; id. Verr. 2, 2, 17:

    quocirca (amici) et absentes adsunt et egentes abundant,

    id. Lael. 7, 23:

    ut loquerer tecum absens, cum coram id non licet,

    id. Att. 7, 15:

    me absente,

    id. Dom. 3; id. Cael. 50:

    illo absente,

    id. Tull. 17; id. Verr. 2, 60:

    absente accusatore,

    id. ib. 2, 99 al.— Sup.:

    mente absentissimus,

    Aug. Conf. 4, 4.—Of things (not thus in Cic.):

    Romae rus optas, absentem rusticus urbem tollis ad astra,

    Hor. S. 2, 7, 28; so,

    Rhodus,

    id. Ep. 1, 11, 21:

    rogus,

    Mart. 9, 77, 8:

    venti,

    Stat. Th. 5, 87:

    imagines rerum absentium,

    Quint. 6, 2, 29:

    versus,

    Gell. 20, 10.—
    B.
    In partic.
    1.
    In conversat. lang.
    (α).
    Praesens absens, in one's presence or absence:

    postulo ut mihi tua domus te praesente absente pateat,

    Ter. Eun. 5, 8, 29.—
    (β).
    Absente nobis turbatumst, in our absence (so also:

    praesente nobis, v. praesens),

    Ter. Eun. 4, 3, 7; Afran. ap. Non. 76, 19 (Com. Rel. p. 165 Rib.).—
    2.
    In polit. lang., not appearing in public canvassings as a competitor:

    deligere (Scipio) iterum consul absens,

    Cic. Rep. 6, 11; so Liv. 4, 42, 1; 10, 22, 9.—
    3.
    = mortuus, deceased, Plaut. Cas. prol. 20; Vitr. 7, praef. § 8.—
    4.
    Ellipt.: absens in Lucanis, absent in Lucania, i. e. absent and in Lucania, Nep. Hann. 5, 3; so id. Att. 8, 6.

    Lewis & Short latin dictionary > absum

  • 12 nahe

    nahe oder näher bringen, prope od. propius admovere, auch bl. admovere, an etwas, ad alqd (auch übtr.). – wenn man die Hand n. bringt, appropinquante manu. einander nahe od. näher bringen, zwei etc. Personen, conciliare inter se. – die getrennten Völker, gentes dissipatas locis miscere (von der Schiffahrt): die Länder, terras admovere (v. Seefahrern): Gleichheit der Gesinnung brachte sie einander bald näher, contraxit celeriter similitudo eos. nahe gehen, bildl., es geht mir etwas n., ich nehme mir etwas n., alqd graviter fero. nahe kommen, a) eig.: prope accedere. – appropinquare (sich nähern, auch v. Lebl., z.B. appropinquante manu, wenn die Hand, d. i. wenn man mit der Hand n. kommt). – komm mir nicht zu n., noli me attingere. – b) übtr.: prope (propius, proxime) accedere ad alqd (z.B. ad veritatem). – non multum abesse ab alqa re (nicht weit entfernt sein von etwas, z.B. a veritate). – prope od. (näher) propius accedere ad similitudinem alcis rei (der Ähnlichkeit nach nahe oder näher kommen). – alcis rei similem esse (einer Sache ähnlich sein, z.B. veri). alqd imitari videri (etwas nachzuahmen scheinen, z.B. virtutem). – simulacrum esse alcis rei (gleichs. ein Abbild von etwas sein, z.B. der sittlichen Vollkommenheit, virtutis). – der Wahrheit noch nicht ganz nahe kommen, nondum satis ad veritatem adduci: einem Ziele näher kommen, proficere ad alqd (s. Caes. b. G. 7, 66, 4 [wo parum prof. = gar nicht n. k.]; Flor. 4, 9, 1): etwas der Kunst od. Wissenschaft nahe Kommendes. quasi ars. – jmdm. etwas nahe legen, subicere alci alqd (an die Hand geben). – alqm monere oder admonere (warnend raten) mit folg. ut u. Konj. (wenn etwas getan) od. mit folg. ne u. Konj. (wenn etwas unterlassen werden soll). – nahe liegen, prope od. in propinquo iacēre od. situm esse. prope esse. non longe abesse. subesse (eig.). – facile inveniri posse (uneig., leicht aufgefunden werden können, von Gründen etc.). – facile intellegi od. intellegi posse (uneig., leicht eingesehen werden oder eingesehen werden können). – naheliegend, propinquus (auch übtr., z.B. exemplum): ganz naheliegend an einem Orte, alci loco proximus (z.B. vicus proximus itineri: u. villae ei urbi proximae). nahe sein, prope esse (im allg.). – propinquum od. vicinum esse (dem Ort, der Zeit, der Ähnlichkeit nach). – non longe abesse. in propinquo adesse. subesse (dem Ort und der Zeit nach: näher sein, propius abesse). – appetere (herannahen, der Zeit nach, v. Tag, Nacht, den Jahreszeiten [1758] etc.). – impendēre (herüberragen, von Orten, z.B. Bergen; dann = nahe bevorstehen, von Zeitereignissen). – näher sein (der Zeit nach), propioribus temporibus natum esse (v. Pers.): sehr n. sein, supra caput esse. in cervicibus esse. in capite et in cervicibus esse (auf dem Nackensein, dem Ort oder der Zeit nach, v. Pers. u. Ereignissen); imminere. instare (der Zeit nach): der Zeitpunkt ist n., wo etc., prope adest, cum etc.: die Sache war einer Empörung sehr n., haud procul seditione res erat.es war nahe daran, daß ich etc., oder ich war nahe daran, zu etc., in eo erat, ut etc. (es war auf dem Punkte, man war im Begriff etc.); prope erat oder fuit, ut etc. propius nihil factum est, quam ut etc. non multum od. non longe od. paulum aberat, quin etc. (alle = es fehlte wenig, es geschah beinahe, daß etc.). – nahe stehen, in vicino stare (eig.). – jmdm., non longe abesse ab alqo (eig.); alci propinquum esse genere. propinquā cognatione alqm contingere (der Verwandtschaft nach); familiariter od. intime uti alqo (als Freund); usu cum alqo coniunctissimum esse (übh. der Verbindung nach, als Kollege, Geschäftsmann etc): jmdm. näherstehen, propiore amicitiae gradu alqm contingere (der Freundschaft nach); alci potiorem esse (der Zuneigung nach, z.B. vetustate necessitudinis). – jmdm. zu nahe treten, alqm offendere (bei jmd. anstoßen, ihn beleidigen); alci iniuriam facere od. inferre (jmdm. ein Unrecht antun). – jmds. Ehre zu nahe treten, alcis existimationem offendere. – ohne einer Sache zu n. zu treten, salvā alqā re (unbeschadet einer Sache, z.B. salvā lege, salvā religione): ohne dir zu nahe zu treten oder treten zu wollen, pace quod fiat tuā (bei einer Vornahme); pace tuādixerim (beim Aussprechen eines Urteils).

    nahe an od. bei, a) dem Orte nach: prope mit folg. ab mit Abl. od. auch bloß mit folg. Akk. – propter (in der Nähe von etc.). – ad (bei; alle drei zur Bezeichnung der Nähe übh.). – iuxta (ganz nahe bei, dicht neben, zur Bezeichnung der unmittelbaren Nähe). – secundum (längs... hin, zur Bezeichnung der Richtung an einem Orte etc. hin). – näher an od. zu etc., propius ad alqm od. ad alqd od. bl. propius alqm od. alqd; od. propius ab alqa re. – sehr nahe an oder bei, proxime ab mit Abl. od. proxime mit folg. Akk. – b) der Zeit nach: prope ad mit Akk. od. prope mit bl. Akk., z.B. bis nahe an das achtzigste Jahr war er gelangt, prope ad annum octogesimum pervenerat. – c) der Anzahl nach: ad mit folg. Akk. od. (bei den Histor.) adverb. (beinahe, zur Angabe der höchsten Zahl, z.B. ad ducentos homines: u. occisis ad hominum milibus quattuor). – circiter (gegen, ungefähr, zur Angabe der ungefähren Zahl).

    deutsch-lateinisches > nahe

  • 13 prospiciens

    prō-spĭcĭo, exi, ectum, 3, v. n. and a. [specio].
    I. A.
    In gen.: neque post respiciens, neque ante prospiciens, Varr. ap. Non. 443, 2:

    parum prospiciunt oculi,

    do not see well, Ter. Phorm. 5, 1, 8; Plaut. Curc. 2, 3, 38:

    grues volant ad prospiciendum alte,

    Plin. 10, 23, 30, § 58:

    ex superioribus locis prospicere in urbem,

    Caes. B. C. 2, 5:

    multum,

    to have an extensive prospect, Cic. Fam. 7, 20, 1:

    per umbram,

    Verg. A. 2, 733:

    procul,

    id. ib. 12, 353:

    ex moenibus,

    Hor. C. 3, 2, 8: longe lateque, Auct. B. Hisp. 8.—
    B.
    In partic.
    1.
    To look out, to watch, be on the watch:

    puer ab januā prospiciens,

    Nep. Hann. 12, 4:

    pavorem simulans (feles) prospexit toto die,

    Phaedr. 2, 4, 20:

    Michol prospiciens per fenestram,

    Vulg. 2 Reg. 6, 16; cf. Ambros. Off. 2, 29, 46.—
    2.
    To look or see to beforehand, to exercise foresight, to look out for, take care of, provide for any thing:

    ego jam prospiciam mihi,

    Ter. Ad. 4, 2, 50:

    consulere ac prospicere debemus, ut, etc.,

    Cic. Verr. 2, 1, 58, § 133:

    prospicite atque consulite,

    id. ib. 2, 1, 8, §

    22: ut prospicias et consulas rationibus meis,

    id. Fam. 3, 2, 1:

    consulite vobis, prospicite patriae,

    id. Cat. 4, 2, 3:

    homo longe in posterum prospiciens,

    id. Fam. 2, 8, 1:

    ut illum intellegatis non longe animo prospexisse morientem,

    id. Clu. 12, 34:

    prospicite, ut, etc.,

    id. Font. 17, 39:

    statuebat prospiciendum, ne, etc.,

    Caes. B. G. 5, 7:

    in annum,

    Varr. R. R. 1, 23, 3.— Impers. pass.:

    senatusconsulto prospectum est, ne, etc.,

    Paul. Sent. 4, 2.— Absol.: malo nos prospicere quam ulcisci, [p. 1477] Ter. Eun. 4, 6, 24:

    plagae crescunt, Nisi prospicis,

    id. Phorm. 5, 2, 17.—
    II. A.
    In gen. ( poet. and in post-Aug. prose):

    Italiam summā ab undā,

    Verg. A. 6, 357:

    campos Prospexit longe,

    id. ib. 11, 909; Hor. C. 3, 25, 10:

    moenia urbis Tarpeiā de rupe,

    Luc. 1, 195:

    ex speculis adventantem hostium classem,

    Liv. 21, 49, 8:

    ut hostium agmen inde prospicerent,

    Curt. 3, 8, 26:

    ex edito monte cuncta,

    id. 7, 6, 4.—
    b.
    Transf., of situations, to have or command a view of, look or lie towards, to overlook:

    domus prospicit agros,

    Hor. Ep. 1, 10, 23:

    cenatio latissimum mare, amoenissimas villas prospicit,

    Plin. Ep. 2, 17, 12; Plin. 5, 16, 15, § 72; Phaedr. 2, 5, 10:

    freta prospiciens Tmolus,

    Ov. M. 11, 150; 8, 330.—
    c.
    Trop.:

    aliquis infans decessit, cui nihil amplius contigit quam prospicere vitam,

    to see life from a distance, to get a glimpse of, Sen. Ep. 66, 42:

    turpe est seni aut prospicienti senectutem, etc.,

    one who sees old age before him, id. ib. 33, 7:

    neque prospexisse castra,

    i. e. life in camp, Plin. Pan. 15, 2.—
    B.
    In partic.
    1.
    To look at attentively, to gaze at (very rare):

    aliquem propter aliquid,

    Nep. Dat. 3, 3.—
    2.
    To foresee a thing (class.):

    multo ante, tamquam ex aliquā speculā, prospexi tempestatem futuram,

    Cic. Fam. 4, 3, 1; cf.:

    longe prospicere futuros casus rei publicae,

    id. Lael. 12, 40; id. Dom. 5, 12:

    multum in posterum,

    id. Mur. 28, 59:

    ex imbri soles,

    Verg. G. 1, 393. —With rel.-clause:

    ut jam ante animo prospicere possis, quibus de rebus auditurus sis,

    Cic. Quint. 10, 35; id. Div. in Caecil. 13, 42.—
    3.
    To look out for, provide, procure:

    habitationem alicui,

    Petr. 10:

    sedem senectuti,

    Liv. 4, 49 fin.:

    maritum filiae,

    Plin. Ep. 1, 14, 1.—In pass.:

    nisi si prospectum interea aliquid est, desertae vivimus,

    Ter. Heaut. 2, 4, 11:

    commeatus a praetore prospectos in hiemem habere,

    Liv. 44, 16:

    ad ferramenta prospicienda,

    Cic. Sull. 19, 55.—Hence,
    A.
    prōspĭcĭ-ens, entis, P. a., endowed with foresight, Gell. 2, 29, 1.—
    B.
    prōspĭcĭenter, adv., providently, considerately, carefully (post-class.):

    res prospicienter animadversas,

    Gell. 2, 29, 1.—
    C.
    prōspectē, adv., providently, deliberately, considerately, advisedly, prudently (post-class.):

    decernere,

    Tert. Apol. 6.— Sup.:

    adhaerebit bono,

    Aug. Ep. ad Maced. 55.

    Lewis & Short latin dictionary > prospiciens

  • 14 prospicio

    prō-spĭcĭo, exi, ectum, 3, v. n. and a. [specio].
    I. A.
    In gen.: neque post respiciens, neque ante prospiciens, Varr. ap. Non. 443, 2:

    parum prospiciunt oculi,

    do not see well, Ter. Phorm. 5, 1, 8; Plaut. Curc. 2, 3, 38:

    grues volant ad prospiciendum alte,

    Plin. 10, 23, 30, § 58:

    ex superioribus locis prospicere in urbem,

    Caes. B. C. 2, 5:

    multum,

    to have an extensive prospect, Cic. Fam. 7, 20, 1:

    per umbram,

    Verg. A. 2, 733:

    procul,

    id. ib. 12, 353:

    ex moenibus,

    Hor. C. 3, 2, 8: longe lateque, Auct. B. Hisp. 8.—
    B.
    In partic.
    1.
    To look out, to watch, be on the watch:

    puer ab januā prospiciens,

    Nep. Hann. 12, 4:

    pavorem simulans (feles) prospexit toto die,

    Phaedr. 2, 4, 20:

    Michol prospiciens per fenestram,

    Vulg. 2 Reg. 6, 16; cf. Ambros. Off. 2, 29, 46.—
    2.
    To look or see to beforehand, to exercise foresight, to look out for, take care of, provide for any thing:

    ego jam prospiciam mihi,

    Ter. Ad. 4, 2, 50:

    consulere ac prospicere debemus, ut, etc.,

    Cic. Verr. 2, 1, 58, § 133:

    prospicite atque consulite,

    id. ib. 2, 1, 8, §

    22: ut prospicias et consulas rationibus meis,

    id. Fam. 3, 2, 1:

    consulite vobis, prospicite patriae,

    id. Cat. 4, 2, 3:

    homo longe in posterum prospiciens,

    id. Fam. 2, 8, 1:

    ut illum intellegatis non longe animo prospexisse morientem,

    id. Clu. 12, 34:

    prospicite, ut, etc.,

    id. Font. 17, 39:

    statuebat prospiciendum, ne, etc.,

    Caes. B. G. 5, 7:

    in annum,

    Varr. R. R. 1, 23, 3.— Impers. pass.:

    senatusconsulto prospectum est, ne, etc.,

    Paul. Sent. 4, 2.— Absol.: malo nos prospicere quam ulcisci, [p. 1477] Ter. Eun. 4, 6, 24:

    plagae crescunt, Nisi prospicis,

    id. Phorm. 5, 2, 17.—
    II. A.
    In gen. ( poet. and in post-Aug. prose):

    Italiam summā ab undā,

    Verg. A. 6, 357:

    campos Prospexit longe,

    id. ib. 11, 909; Hor. C. 3, 25, 10:

    moenia urbis Tarpeiā de rupe,

    Luc. 1, 195:

    ex speculis adventantem hostium classem,

    Liv. 21, 49, 8:

    ut hostium agmen inde prospicerent,

    Curt. 3, 8, 26:

    ex edito monte cuncta,

    id. 7, 6, 4.—
    b.
    Transf., of situations, to have or command a view of, look or lie towards, to overlook:

    domus prospicit agros,

    Hor. Ep. 1, 10, 23:

    cenatio latissimum mare, amoenissimas villas prospicit,

    Plin. Ep. 2, 17, 12; Plin. 5, 16, 15, § 72; Phaedr. 2, 5, 10:

    freta prospiciens Tmolus,

    Ov. M. 11, 150; 8, 330.—
    c.
    Trop.:

    aliquis infans decessit, cui nihil amplius contigit quam prospicere vitam,

    to see life from a distance, to get a glimpse of, Sen. Ep. 66, 42:

    turpe est seni aut prospicienti senectutem, etc.,

    one who sees old age before him, id. ib. 33, 7:

    neque prospexisse castra,

    i. e. life in camp, Plin. Pan. 15, 2.—
    B.
    In partic.
    1.
    To look at attentively, to gaze at (very rare):

    aliquem propter aliquid,

    Nep. Dat. 3, 3.—
    2.
    To foresee a thing (class.):

    multo ante, tamquam ex aliquā speculā, prospexi tempestatem futuram,

    Cic. Fam. 4, 3, 1; cf.:

    longe prospicere futuros casus rei publicae,

    id. Lael. 12, 40; id. Dom. 5, 12:

    multum in posterum,

    id. Mur. 28, 59:

    ex imbri soles,

    Verg. G. 1, 393. —With rel.-clause:

    ut jam ante animo prospicere possis, quibus de rebus auditurus sis,

    Cic. Quint. 10, 35; id. Div. in Caecil. 13, 42.—
    3.
    To look out for, provide, procure:

    habitationem alicui,

    Petr. 10:

    sedem senectuti,

    Liv. 4, 49 fin.:

    maritum filiae,

    Plin. Ep. 1, 14, 1.—In pass.:

    nisi si prospectum interea aliquid est, desertae vivimus,

    Ter. Heaut. 2, 4, 11:

    commeatus a praetore prospectos in hiemem habere,

    Liv. 44, 16:

    ad ferramenta prospicienda,

    Cic. Sull. 19, 55.—Hence,
    A.
    prōspĭcĭ-ens, entis, P. a., endowed with foresight, Gell. 2, 29, 1.—
    B.
    prōspĭcĭenter, adv., providently, considerately, carefully (post-class.):

    res prospicienter animadversas,

    Gell. 2, 29, 1.—
    C.
    prōspectē, adv., providently, deliberately, considerately, advisedly, prudently (post-class.):

    decernere,

    Tert. Apol. 6.— Sup.:

    adhaerebit bono,

    Aug. Ep. ad Maced. 55.

    Lewis & Short latin dictionary > prospicio

  • 15 viel

    viel, multus( Adv. multum u. multo). – viele, multi; non pauci (nicht wenige); frequens. frequentes (in großer Zahl sich einfindend, von leb. Wesen). – sehr v., permultus( Adv. permultum). – sehr viele, permulti; plurimi; plerique (mit dem Unterschied, daß perm. u. plur. von dem positiven Begriff »viel« ausgehen, »eine sehr große Zahl oder Menge«, dagegen plerique von dem negativen Begriff »wenig«, unser »gerade nicht die wenigsten, die Mehrzahl«; dah. plerique mit der 2. Pers. Plur. des Verbums unser »ihr in der Mehrzahl = sehr viele von euch«, z.B. plerique meministis). [2565] – Zu bemerken ist, daß im Lateinischen multus, permultus u. plurimus mit dem andern Adjektiv durch die Kopula et (atque, ac) oder durch isque verbunden werden, wenn das Adjektiv »viel« ebenso wesentlich u. selbständig istwie das darauffolgende, z.B. viele wichtige Gedanken, multae et graves cogitationes; multae cogitationes eaeque graves: sehr v. große Teile haben, habere permultas et magnas partes. – Ferner, daß die Lateiner mit multi, permulti, plurimi u. plerique u. mit dem Neutr. multum, plurimum den Genetiv verbinden, wenn durch dieselben nicht der Begriff einer ganzen Masse, sondern eines großen Teilsvon einem Ganzen bezeichnet wird, wo wir im Deutschen oft »viele von« etc. setzen, z.B. viele Menschen, multi hominum: v. von diesen Bäumen, multae istarum arborum: sehr v. Feinde oder von den Feinden, permulti hostium: viele, sehr v. Mühe, multum, plurimum laboris: sehr v. Punier oder von den Puniern, plerique Poenorum: sehr v. Leser, legentium plerique. – Ist »viel, sehr viel« = eine Menge, eine große, ungeheuere Menge, so wird es durch die Ausdrücke unter »Menge« gegeben. – etwas v. haben, abundare alqā re (Überfluß haben etc., z.B. Muße, otio). – v. mit jmd. umgehen, multum esse cum alqo; multum uti alqo. – Bei Komparativen steht multo od. permulto (um vieles, um sehr vieles) und (seit Liv.) longe (weit), zuw. auch multis partibus (in vielen Stücken, Beziehungen), z.B. viel mehr, multo plura: v. mehr, v. weniger, multo magis, multo minus: v. besser, multo od. longe melius: v. größer sein, multis partibus maiorem esse. – um vieles, multo. – es fehlte nicht viel, daß etc., non multum od. non longe afuit, quin etc. – sich viel wissen, magnos spiritus sumere: sich v. auf etw. wissen, alqd iactare, – zu v., nimius( Adv. nimis u. nimium): zu vieles, nimis multum; nimis od. nimium multa(n. pl.): mehr als zu v., abunde: zu viel sein, abundare: etw. mehr als zu v. haben, abundare alqā re: ich habe mehr als zu v., wenn etc., mihi abunde est, si etc.: wir haben der Feinde noch zu v., hostium nimis multum superest: zu v. ist ungesund, ne quid nimis (sprichw., Ter. Andr. 61): das war zu v., iam intolerabilis ea res erat: in der Sache zu v. oder zu wenig getan haben, aut excessisse aut non implesse officii sui partes: v. und gut ist nicht beisammen, omnia praeclara rara. – so viel, s. soviel. – wieviel, s. wie no. I u. III.

    deutsch-lateinisches > viel

  • 16 abeo

    ăbĕo, īre, īvī (ĭī), ĭtum, intr.    - impér. abei Cil. 1, 1007, 8 --- abin = abisne, Plaut., Ter. --- le parf abivi ne se trouve nulle part; les formes sync. abi, abit se trouvent en poésie; l'inf. abisse est presque de règle. [st1]1 [-] s'en aller.    - abire ex eorum agris, Cic. Verr. 3, 79: s'en aller de leurs terres.    - abire ex conspectu, Caes. G. 6, 43, 5: s'éloigner de la vue.    - abire ab his locis, Plaut. Men. 553: s'éloigner de ces lieux.    - abire ab urbe, Liv. 36, 3, 3: s'éloigner de la ville.    - abire ab aliquo, Plaut. Cap. 487: s'éloigner de qqn, quitter qqn.    - cf. Plaut. Mil. 1084 ;Ter. Eun. 791 ; Cic. Verr. 2, 54 ; Flac. 50 ; Liv. 28, 24, 8.    - abire ab oculis, Plaut. Trin. 989: s'éloigner des regards.    - cf. Plaut. Cas. 302 ; Truc. 477 ; Sen. Ep. 36, 10.    - quia te illinc abisse constabat, Cic.: parce que je savais que tu n'étais pas là.    - abibitur: on s'en ira.    - abire cubitum: aller se coucher.    - abi in malam crucem (abi in malam rem): va-t-en au diable, va te faire pendre.    - cf. Plaut., Ter.; Cic. Phil. 13, 48.    - (Catilina) abiit, excessit, evasit, erupit, Cic. Cat. 2: le voilà (Catilina) parti, il est loin, il s'est échappé, il a brisé (ses chaînes).    - abire ab aliquo, Ter.: sortir de chez qqn.    - abire exsulatum (abire in exsilium), Liv.: partir pour l'exil. [st1]2 [-] poét. pénétrer dans, s'enfoncer dans.    - in corpus abire, Lucr. 4, 1111: s'enfoncer dans le corps    - cf. Virg. En. 9, 695; Stat. Th. 8, 495 ; 11, 631. [st1]3 [-] s'en aller, disparaître.    - abiit ille annus, Cic. Sest. 71: cette année-là s'écoula. --- cf. Cael. 74 ; Mur. 7 ; etc.    - illa mea... abierunt, Cic. Fam. 9, 20, l: mes propos d'autrefois... s'en sont allés.    - sensus abiit, Cic. Tusc. 1, 109: le sentiment a disparu. --- cf. Fam. 14, 1, 3 ; Att. 41, 10, 2 ; Liv. 2, 4, 2. [st1]4 [-] sortir (d'une fonction, de la vie), partir d'une idée.    - abire honore, Suet.: quitter une charge.    - magistratu abire: quitter une magistrature, sortir de charge.    - abire e vita: mourir.    - qui abierunt hinc, Plaut.: ceux qui ont quitté la terre.    - illuc, unde abii, redeo, Hor.: je reviens au point d'où je suis parti. [st1]5 [-] s'écarter de, abandonner.    - abire incepto, Tac.: s'écarter de son sujet.    - abeo a sensibus, Cic.: j'en finis avec les sens (je quitte ce sujet).    - abire impune: s'en aller impuni, rester impuni.    - abire ab jure: s’éloigner du droit, violer le droit.    - ne longius abeam, Cic. Fin. 2, 96: pour ne pas faire une trop longue digression. --- cf. Rep. 3, 38 ; Caec. 95, etc.    - quid ad istas ineptias abis? Amer. 47: pourquoi t'écartes-tu de ton sujet pour dire de pareilles sornettes? [st1]6 [-] passer d'un état à un autre.    - ad deos abiit Hercules, Cic.: Hercule est passé au rang des dieux.    - abire pro ludibrio in ora virûm (= virorum), Liv.: devenir la risée du monde.    - abire in somnum, Lucr.: s'endormir. [st1]7 [-] s'écouler, s'éloigner, passer.    - tota abit hora, Hor.: une heure entière s'écoule.    - nausea jamne abiit? Cic.: le dégoût est-il passé?    - pallor abiit, Ov.: la pâleur a disparu. [st1]8 [-] se changer en, passer à, aboutir à, se passer.    - abire in aliquam rem: se transformer en qqch.    - in villos abeunt vestes, Ov.: ses vêtements se changent en poils.    - oppidum abiit in villam, Plin.: la ville n'est plus qu'une villa.    - abibunt in vanum monentium verba, Sen.: les conseils s'en iront en fumée.    - mirabar hoc si sic abiret, Ter.: je m'étonnais que la chose prît cette tournure.    - non, non hoc sic abibit, Cat.: non, la chose ne se passera pas ainsi. [st1]9 [-] se propager, s'étendre.    - longius nefas abiit, Ov.: le mal se répandit au loin. [st1]10 [-] échapper à (dans une vente).    - ne res abiret ab eo, Cic.: de peur que la chose ne lui échappât (par une surenchère). [st1]11 [-] baisser, diminuer.    - ut reditus agrorum sic etiam pretium retro abiit, Plin. Ep. 3, 19: le rendement des terres a diminué tout comme leur prix.
    * * *
    ăbĕo, īre, īvī (ĭī), ĭtum, intr.    - impér. abei Cil. 1, 1007, 8 --- abin = abisne, Plaut., Ter. --- le parf abivi ne se trouve nulle part; les formes sync. abi, abit se trouvent en poésie; l'inf. abisse est presque de règle. [st1]1 [-] s'en aller.    - abire ex eorum agris, Cic. Verr. 3, 79: s'en aller de leurs terres.    - abire ex conspectu, Caes. G. 6, 43, 5: s'éloigner de la vue.    - abire ab his locis, Plaut. Men. 553: s'éloigner de ces lieux.    - abire ab urbe, Liv. 36, 3, 3: s'éloigner de la ville.    - abire ab aliquo, Plaut. Cap. 487: s'éloigner de qqn, quitter qqn.    - cf. Plaut. Mil. 1084 ;Ter. Eun. 791 ; Cic. Verr. 2, 54 ; Flac. 50 ; Liv. 28, 24, 8.    - abire ab oculis, Plaut. Trin. 989: s'éloigner des regards.    - cf. Plaut. Cas. 302 ; Truc. 477 ; Sen. Ep. 36, 10.    - quia te illinc abisse constabat, Cic.: parce que je savais que tu n'étais pas là.    - abibitur: on s'en ira.    - abire cubitum: aller se coucher.    - abi in malam crucem (abi in malam rem): va-t-en au diable, va te faire pendre.    - cf. Plaut., Ter.; Cic. Phil. 13, 48.    - (Catilina) abiit, excessit, evasit, erupit, Cic. Cat. 2: le voilà (Catilina) parti, il est loin, il s'est échappé, il a brisé (ses chaînes).    - abire ab aliquo, Ter.: sortir de chez qqn.    - abire exsulatum (abire in exsilium), Liv.: partir pour l'exil. [st1]2 [-] poét. pénétrer dans, s'enfoncer dans.    - in corpus abire, Lucr. 4, 1111: s'enfoncer dans le corps    - cf. Virg. En. 9, 695; Stat. Th. 8, 495 ; 11, 631. [st1]3 [-] s'en aller, disparaître.    - abiit ille annus, Cic. Sest. 71: cette année-là s'écoula. --- cf. Cael. 74 ; Mur. 7 ; etc.    - illa mea... abierunt, Cic. Fam. 9, 20, l: mes propos d'autrefois... s'en sont allés.    - sensus abiit, Cic. Tusc. 1, 109: le sentiment a disparu. --- cf. Fam. 14, 1, 3 ; Att. 41, 10, 2 ; Liv. 2, 4, 2. [st1]4 [-] sortir (d'une fonction, de la vie), partir d'une idée.    - abire honore, Suet.: quitter une charge.    - magistratu abire: quitter une magistrature, sortir de charge.    - abire e vita: mourir.    - qui abierunt hinc, Plaut.: ceux qui ont quitté la terre.    - illuc, unde abii, redeo, Hor.: je reviens au point d'où je suis parti. [st1]5 [-] s'écarter de, abandonner.    - abire incepto, Tac.: s'écarter de son sujet.    - abeo a sensibus, Cic.: j'en finis avec les sens (je quitte ce sujet).    - abire impune: s'en aller impuni, rester impuni.    - abire ab jure: s’éloigner du droit, violer le droit.    - ne longius abeam, Cic. Fin. 2, 96: pour ne pas faire une trop longue digression. --- cf. Rep. 3, 38 ; Caec. 95, etc.    - quid ad istas ineptias abis? Amer. 47: pourquoi t'écartes-tu de ton sujet pour dire de pareilles sornettes? [st1]6 [-] passer d'un état à un autre.    - ad deos abiit Hercules, Cic.: Hercule est passé au rang des dieux.    - abire pro ludibrio in ora virûm (= virorum), Liv.: devenir la risée du monde.    - abire in somnum, Lucr.: s'endormir. [st1]7 [-] s'écouler, s'éloigner, passer.    - tota abit hora, Hor.: une heure entière s'écoule.    - nausea jamne abiit? Cic.: le dégoût est-il passé?    - pallor abiit, Ov.: la pâleur a disparu. [st1]8 [-] se changer en, passer à, aboutir à, se passer.    - abire in aliquam rem: se transformer en qqch.    - in villos abeunt vestes, Ov.: ses vêtements se changent en poils.    - oppidum abiit in villam, Plin.: la ville n'est plus qu'une villa.    - abibunt in vanum monentium verba, Sen.: les conseils s'en iront en fumée.    - mirabar hoc si sic abiret, Ter.: je m'étonnais que la chose prît cette tournure.    - non, non hoc sic abibit, Cat.: non, la chose ne se passera pas ainsi. [st1]9 [-] se propager, s'étendre.    - longius nefas abiit, Ov.: le mal se répandit au loin. [st1]10 [-] échapper à (dans une vente).    - ne res abiret ab eo, Cic.: de peur que la chose ne lui échappât (par une surenchère). [st1]11 [-] baisser, diminuer.    - ut reditus agrorum sic etiam pretium retro abiit, Plin. Ep. 3, 19: le rendement des terres a diminué tout comme leur prix.
    * * *
        Abeo, abis, abiui, pe. prod. et per syncopam, abii, abitum, pen. corr. abire, Discedere. S'en aller, S'en partir.
    \
        Praetor de sella surrexit, atque abiit. Cic. Le juge s'est levé de son siege, et s'en est allé.
    \
        Abire hinc, illinc, istinc, inde. Terent. Non tu hinc abis? T'en vas tu point d'ici?
    \
        Quum inde abeo. Terent. Quand je m'en vay de là.
    \
        Sine me hinc abire. Plaut. Laisse moy sortir ou aller d'ici.
    \
        Abire ab aliquo. Plaut. Se departir d'aucun, et le laisser là.
    \
        Abeo ab illis, Plaut. Je m'en vay arriere d'euls.
    \
        Abire ab, vel ex oculis, e conspectu, etc. Plaut. Liu. S'oster de devant les yeuls d'aucun.
    \
        Vide ne res abeat a nobis. Cic. Garde que la chose ne nous eschappe. B.
    \
        Abire ab aliquo, pro Exire ab eius aedibus. Terent. Sortir de chez aucun.
    \
        Iube hanc abire ad te. Plaut. Commande que ceste ci aille chez toy, ou en ta maison.
    \
        Abiit ad deos. Cic. Il est allé en paradis, ou au ciel, Il est sanctifié.
    \
        In angulum aliquo abire. Terent. En quelque coing.
    \
        In exilium abierunt. Liu. Se sont euls mesmes bannis, Sont allez voluntairement en exil. \ Abeo intro. Terent. J'entre dedens.
    \
        Ne abeas longius. Terent. Ne t'esloigne point.
    \
        Illo abeunte peregre. Plin. S'en allant en pais loingtain. On dict communement, S'en allant dehors.
    \
        Abi illis obuiam. Terent. va au devant d'elles.
    \
        Quasi vero mihi difficile sit quanuis multos nominatim proferre, (ne longius abeam) vel tribuleis, vel vicinos meos, etc. Cic. Sans aller plus loing.
    \
        Longe res abibit. Vlpian. La chose sera de longue expedition. B.
    \
        Non longe abieris. Cic. Il ne te fault point aller loing pour trouver exemple.
    \
        Ne in infinitum abeamus. Plin. Pour mettre fin à nostre propos.
    \
        Exulatum abiit salus. Plaut. Je suis perdu.
    \
        Abi deambulatum. Terent. Va te pourmener.
    \
        Exulatum abierunt. Liu. Sont allez en exil.
    \
        Abire pessum. Plaut. S'enfoncer, Aller en bas.
    \
        Iam fides abiit. Liu. Il n'est point à croire, Il n'est point vray semblable.
    \
        Animus abiit in varios cursus. Ouid. A faict de grands discours.
    \
        Ferrum in corpus. Stat. Est entré.
    \
        Hasta viri trans pectus abiit. Sta. A traversé la poitrine, A persé tout oultre.
    \
        Quorum vetustate memoria abiit. Liu. Desquels il n'est plus de memoire à cause du long temps.
    \
        Modus abiit. Ouid. Il n'y a plus de moyen, Il n'y a plus d'ordre. On dit communement, Il n'y a plus de rythme ne de raison.
    \
        Nausea iam plane abiit. Cic. Est cessee.
    \
        In commissura abibunt pedes tres. Cato. Trois pieds si en iront, Il s'en fauldra trois pieds, Trois pieds se perdront.
    \
        De loco nunc quidem abiit pestilentia. Cic. S'en est allee, Est cessee.
    \
        Vt reditus agrorum, sic etiam pretium retro abiit. Plin. Iunior. On n'en baille plus tant qu'on avoit accoustumé, Le pris est ravallé.
    \
        Sol abiit. Plaut. S'en va, Se baisse.
    \
        Spes victis telluris abit. Lucan. Se perd.
    \
        Illa mea, quae solebas antea laudare, o hominem facilem, o hospitem non grauem, abierunt. Cic. Sont passez, Ne sont plus, S'en est faict.
    \
        Abiit illud tempus. Cic. Est passé.
    \
        Dum haec dicit, abiit hora. Terent. L'heure s'est passee, Il a esté une heure à dire cela.
    \
        Haec dum dubitas, menses abierunt decem. Terent. Se sont passez, ou escoulez.
    \
        Praeceps Fabius in vulnus abiit. Liu. Il cheut sur le costé où il estoit navré.
    \
        Abi tu sane superior. Plaut. Assiez toy plus hault.
    \
        Quo diuersus abis? Virg. Où tournes tu? Où vas tu?
    \
        Abeo a sensibus. Cic. Je me deporte de plus parler des sens.
    \
        Abitum est a priore emptione. Paulus iuris. On ne teint point le marché faict, Le premier marché fut rompu, Ils se departirent du premier achet.
    \
        Abire ab iure. Cic. Contrevenir au droict.
    \
        E medio abiit. Terent. Il ne se trouve plus, Il n'est plus entre les gens, Il est mort. \ Sic abiit e vita. Cic. Il mourut.
    \
        Abire ad vulgi opinionem. Cic. Suyvre l'opinion du vulgaire.
    \
        Abire magistratu, Consulatu, etc. pro Deponere magistratum, Consulatum, etc. Cic. Liu. Se devestir et demettre de son office, Laisser son office, Finer le temps de son office, et prendre congé. \ Abire incoepto. Liu. Delaisser son entreprinse.
    \
        Totum stagnum in salem abit. Plin. Se mue et convertist en sel, Devient sel.
    \
        Praesens quod fuerat malum, in diem abiit. Terent. Ta punition n'est seulement que differee, Tu n'en pers que l'attente.
    \
        Abire in ora hominum. Liu. Faire parler les gens de soy, se faire mocquer du monde.
    \
        In quos enim sumptus abeunt fructus praediorum? Ci. En quels frais et quelle despense s'en va le revenu de mes fermes?
    \
        Abire sub iugum. Liu. Passer soubs la fourche.
    \
        Abeunt sursum radices. Cato. Vont contremont.
    \
        Mirabar, hoc si sic abiret. Terent. Si ceste chose se passeroit ainsi, S'il en iroit ainsi.
    \
        Quid ad istas ineptias abis? Cic. Qu'as tu à faire de parler de ces folies? Pourquoy vas tu cercher ces folies?
    \
        Abi prae, Sosia. Terent. Va devant.
    \
        Tu abi tacitus viam tuam. Plaut. Va t'en ton chemin sans dire mot.
    \
        Abire fuga. Virg. S'enfuir.
    \
        Abi, virum te iudico. Terent. Va, je t'estime gentil compaignon.
    \
        Abi, nescis inescare homines. Terent. Va, tu n'es qu'ung lourdault, Tu ne scais, etc.
    \
        Abi, abi iam AEschine. Terent. Va t'en, va t'en meshuy, tu, etc.
    \
        Abite. Terent. Sus devant, Hors d'ici, Partez d'ici, Sortez d'ici.
    \
        Abibitur, pen. cor. Impersonale. Plaut. On s'en ira.

    Dictionarium latinogallicum > abeo

  • 17 beinahe

    beinahe, prope (da, wo die Schätzung des Gegenstandes unter dem wirklichen Verhälinisse bleibt, »nahebei«). – paene (in Rücksicht des Grades, um anzuzeigen, daß nicht viel fehlt und daß etwas fast das Ziel erreicht hat, »fast, schier« etc.). – fere. ferme (da, wo Angaben u. Bestimmungen nach einem allgemeinen Überschlage gemacht werden, »so ziemlich, fast ganz, im ganzen genommen«). – tantum non (»nur das fehlt, daß nicht« etc., z. B. beinahe sei der Krieg vor den Toren etc., tantum non bellum ante portas et murum esse, d. i. [der Krieg sei nahe, aber] nur das fehle, daß er nicht etc.). – propemodum (was von dem rechten Maße nicht weit entfernt ist, »beinahe so, wie es sein soll«). – ad. circiter (an, gegen, um eine Zeit od. Zahl mutmaßlich zu bestimmen u. zwar ad zur Angabe der höchsten Zahl, circ. zur Angabe einer ungefähren Zahl). – Ist »beinahe« [387] = »es fehlte wenig, es war nahe daran etc.«, so kann es im Latein. durch einen solchen Verbalsatz umschrieben werden, wie: haud multum od. non longe afuit, quin etc.; prope erat od. factum est, ut etc.; propius nihil factum est, quam ut etc., z. B. ich glaube beinahe, non longe absum, quin credam: b. wäre der linke Flügel geschlagen worden, prope erat, ut sinistrum cornu pelleretur.

    deutsch-lateinisches > beinahe

  • 18 kurzsichtig

    kurzsichtig, I) eig.: qui oculis non satis prospicit; cuius oculi non longe conspectum ferunt. – k. sein, oculis non satis prospicere; non longe videre. – II) uneig., wenig Einsicht habend: stultus.Adv.stulte.

    deutsch-lateinisches > kurzsichtig

  • 19 ego

    ĕgŏ, (gén. mei; dat. mihi ou qqf. mi; abl. et acc. me), m. et f. je, moi, personnellement, pour moi, quant à moi, c'est moi qui.    - la déclinaison    - egomet, mihimet, memet (pronom + met, particule d'insistance, invariable): moi-même.    - eam navem egomet vidi Veliae, Cic. Verr. 44: ce bateau, je l'ai vu moi-même à Vélie.    - ego omnia feci: c'est moi qui ai tout fait.    - ego censeo...: pour moi, je suis d'avis que...    - ego, tu et ille: lui, toi et moi. (ordre inverse en français).    - mihimet ineunda ratio est, Cic. Verr. 3, 110: je dois moi-même prendre des mesures.    - Amphitruonem memet esse adsimulabo, Plaut. Amph. 3, 1, 13: je vais feindre d'être moi-même Amphitryon.    - meruimus et ego et pater de vobis, Plaut.: mon père et moi, nous vous avons rendu service.    - ego tu sum, tu es ego: uni animi sumus, Plaut.: je suis toi, tu es moi: nous ne sommes qu'une âme.    - ego sum ille consul, Cic.: c'est moi, ce consul.    - egone (egon') ? qui, moi?    - egone haec patiar? Plaut. As. 4, 2, 1: moi! je supporterais cela!    - ego vero: quant à moi, pour moi.    - o ego laevus! maladroit que je suis!    - odio mei, Cic.: par haine pour moi.    - Curii villa abest non longe a me, Cic.: Curius habite à la campagne près de moi.    - nomen imperatoris, quo me mei milites appellarunt, mihi maximum est: le nom d'imperator, par lequel m'ont appelé mes soldats, est pour moi le plus grand.    - res mi in mentem venit, Cic.: une chose me vient à l'esprit.    - quis igitur nisi vos narravit mi, illi ut fuerit proelium? Plaut. Amph. 2. 2. 114: qui donc, si ce n'est vous, m'a raconté comment s'est passé le combat là-bas?    - med = me (acc.)    - dic igitur med aniticulam, Plaut.: alors, dis que je suis ton petit canard. mihi, apparemment explétif, est en fait un datif éthique, qui exprime un désir ou une opinion personnelle.    - sit mihi orator tinctus litteris, Cic.: je veux que l'orateur soit versé dans les lettres.    - mihi supera saxa, d'après Virg.: franchis les rochers (franchis-moi les rochers) → cf. fermez-moi cette porte.    - erit ille mihi semper deus: à mes yeux, il sera toujours un dieu. mei est un emprunt au génitif neutre du possessif meus: il renvoie au masculin ou au féminin, selon le contexte, avec le sens littéral de «mon être».    - cupidus videndi mei: désireux de me voir (le pronom mei est au masculin ou au féminin, selon le contexte.)    - memento mei: souviens-toi de moi.    - fastidit mei: il me dédaigne.
    * * *
    ĕgŏ, (gén. mei; dat. mihi ou qqf. mi; abl. et acc. me), m. et f. je, moi, personnellement, pour moi, quant à moi, c'est moi qui.    - la déclinaison    - egomet, mihimet, memet (pronom + met, particule d'insistance, invariable): moi-même.    - eam navem egomet vidi Veliae, Cic. Verr. 44: ce bateau, je l'ai vu moi-même à Vélie.    - ego omnia feci: c'est moi qui ai tout fait.    - ego censeo...: pour moi, je suis d'avis que...    - ego, tu et ille: lui, toi et moi. (ordre inverse en français).    - mihimet ineunda ratio est, Cic. Verr. 3, 110: je dois moi-même prendre des mesures.    - Amphitruonem memet esse adsimulabo, Plaut. Amph. 3, 1, 13: je vais feindre d'être moi-même Amphitryon.    - meruimus et ego et pater de vobis, Plaut.: mon père et moi, nous vous avons rendu service.    - ego tu sum, tu es ego: uni animi sumus, Plaut.: je suis toi, tu es moi: nous ne sommes qu'une âme.    - ego sum ille consul, Cic.: c'est moi, ce consul.    - egone (egon') ? qui, moi?    - egone haec patiar? Plaut. As. 4, 2, 1: moi! je supporterais cela!    - ego vero: quant à moi, pour moi.    - o ego laevus! maladroit que je suis!    - odio mei, Cic.: par haine pour moi.    - Curii villa abest non longe a me, Cic.: Curius habite à la campagne près de moi.    - nomen imperatoris, quo me mei milites appellarunt, mihi maximum est: le nom d'imperator, par lequel m'ont appelé mes soldats, est pour moi le plus grand.    - res mi in mentem venit, Cic.: une chose me vient à l'esprit.    - quis igitur nisi vos narravit mi, illi ut fuerit proelium? Plaut. Amph. 2. 2. 114: qui donc, si ce n'est vous, m'a raconté comment s'est passé le combat là-bas?    - med = me (acc.)    - dic igitur med aniticulam, Plaut.: alors, dis que je suis ton petit canard. mihi, apparemment explétif, est en fait un datif éthique, qui exprime un désir ou une opinion personnelle.    - sit mihi orator tinctus litteris, Cic.: je veux que l'orateur soit versé dans les lettres.    - mihi supera saxa, d'après Virg.: franchis les rochers (franchis-moi les rochers) → cf. fermez-moi cette porte.    - erit ille mihi semper deus: à mes yeux, il sera toujours un dieu. mei est un emprunt au génitif neutre du possessif meus: il renvoie au masculin ou au féminin, selon le contexte, avec le sens littéral de «mon être».    - cupidus videndi mei: désireux de me voir (le pronom mei est au masculin ou au féminin, selon le contexte.)    - memento mei: souviens-toi de moi.    - fastidit mei: il me dédaigne.
    * * *
        Ego, mei vel mis, mihi, me, a me, Pronomen. Moy.
    \
        Ego vero. Cicero, Quod te excusas: ego vero et tuas causas nosco, etc. Je vous di plus fort, etc.
    \
        Ego vero istuc ago. Terent. Je m'en soulcie bien. Dict par mocquerie.
    \
        Eorum ego vitam mortemque iuxta aestimo. Sallust. Quant est de moy.
    \
        Egomet, pen. corr. Plaut. Moymesme.
    \
        Si nequeo facere vt abeas, egomet abire volo. Plaut. Si m'en veulx je aller.
    \
        Egomet quoque eius causa in funus prodeo. Terent. Moymesme aussi.
    \
        Egone? Terent. - quid coeptas Thraso? T. Egone? vt Thaidi me dedam, etc. Quoy, moy? à fin, etc.
    \
        Potin'est hic tacere? P. egone? optume. Terent. Qui, moy? Est ce moy, etc.
    \
        Egone debacchatus sum in te, an tu in me? Terent. Est ce moy qui etc.
    \
        Egone id timeo? Terent. Penses tu que je craigne cela?
    \
        Egone quid velim? Terent. Me demandes tu que je veulx?
    \
        Mihi pulchra satis est. Plaut. Elle me semble assez belle.
    \
        Mihi tu dederis pallam et spinter? nunquam factum reperies. Plaut. Dis tu que me l'as baillee? Il n'est pas ainsi.
    \
        Mihi quidem esurio, non tibi. Plaut. C'est mon dommage, non pas le tien, Tu n'en as que faire.
    \
        Quid istic tibi negotii est? C. mihine? S. ita. Terent. Dis tu? ou Parles tu à moy?
    \
        Mihimet, pen. corr. Plaut. A moymesme.
    \
        Me vide. Plaut. Regarde moy, Ne te soulcie.
    \
        Me miseram! Terent. Las miserable femme que je suis!
    \
        Me viuo. Plaut. De mon vivant.

    Dictionarium latinogallicum > ego

  • 20 abeo

    ăb-ĕo, ĭvi or ii, ītum, īre, v. n. (abin= abisne, Plaut. and Ter.; abiit, dissyl., v. Herm. Doctr. Metr. p. 153), to go from a place, to go away, depart.
    I.
    Lit..
    A.
    In gen., constr. with ab, ex, the simple abl., the acc. with in, the local adv. hinc, and absol.:

    abeo ab illo,

    Plaut. Cure. 2, 3, 70:

    abi in malam rem maxumam a me,

    id. Ep. 1, 1, 72 (v. infra); so id. Bacch. 4, 9, 107:

    abin e conspectu meo?

    id. Am. 1, 3, 20 (but also abin ab oculis? id. Trin. 4, 2, 140: id. Truc. 2, 5, 24):

    ablturos agro Argivos,

    id. Am. 1, 1, 53:

    abire in aliquas terras,

    Cic. Cat. 1, 8, 20:

    insanus, qui hinc abiit modo,

    Plaut. Merc. 2, 2, 61:

    abi prae, jam ego sequar,

    go on, I will soon follow, id. Am. 1, 3, 45. —With supine:

    abiit exsulatum,

    into exile, Plaut. Merc. 3, 4, 6; Liv. 2, 15 fin.; cf.:

    abi deambulatum,

    Ter. Heaut. 3, 3, 26. — Absol.:

    (Catilina) abiit, excessit, evasit, erupit,

    Cic. Cat. 2, 1, 1:

    praetor de sellā surrexit atque abiit,

    id. Verr. 2, 4, 65 fin.:

    quae dederat abeuntibus,

    Verg. A. 1, 196 al.:

    sub jugum abire,

    Liv. 3, 2, 8 fin.With inf.:

    abi quaerere,

    Plaut. Cist. 2, 1, 26. —Of things:

    cornus sub altum pectus abit,

    penetrates deeply, Verg. A. 9, 700.
    B.
    In partic.
    1.
    To pass away, so that no trace remains; to disappear, vanish, cease.
    a.
    Of man, to die:

    qui nune abierunt hinc in communem locum (i.e. in Orcum),

    Plaut. Cas. prol. 19; cf.:

    ea mortem obiit, e medio abiit,

    Ter. Phorm. 5, 9, 30; so also Cic.: abiit e vitā, Tusc. 1, 30, 74 al. —
    b.
    Of time, to pass away, elapse:

    dum haec abiit hora,

    Ter. Eun. 2, 3, 50:

    menses,

    id. Ad. 4, 5, 57:

    annus,

    Cic. Sest. 33, 72:

    abit dies,

    Cat. 61, 195:

    tota abit hora,

    Hor. S. 1, 5, 14. —
    c.
    Of other things:

    per inane profundum,

    Lucr. 1, 1108:

    nausea jam plane abiit?

    Cic. Att. 14, 10, 2; so id. Fam. 9, 20; Ov. M. 7, 290 al.
    2.
    To be changed from one's own ways or nature into something else, to be transformed, metamorphosed; always constr. with in (chiefly poet., esp. in Ov. M., as a constant expression for metamorphosis): terra abit in nimbos imbremque, Lucil. ap. Varr. L. L. 5, § 24 Mūll.:

    in corpus corpore toto,

    to pass with their whole body into another, Lucr. 4, 1111:

    aut abit in somnum,

    is, as it were, wholly dissolved in sleep, is all sleep, id. 3, 1066: E in V abiit. Varr. L. L. 5, § 91 Mūll.:

    in villos abeunt vestes, in crura lacerti,

    Ov. M. 1, 236; id. ib. 2, 674:

    jam barba comaeque in silvas abeunt,

    id. ib. 4, 657; 4, 396; so id. ib. 3, 398; 8,555; 14, 499;

    14, 551 al.: in vanum abibunt monentium verba,

    will dissolce into nothing, Sen. Ep. 94 med.;

    hence, in avi mores regem abiturum,

    would adopt the ways of, Liv. 1, 32.
    II.
    Trop.
    A.
    In gen., to depart from, to leave off, to turn aside:

    ut ab jure non abeat,

    Cic. Verr. 2, 1, 44, § 114; so,

    ab emptione,

    Dig. 2, 14, 7, § 6; 18, 2, 14, § 2 sq.:

    a venditione,

    ib. 18, 5, 1: sed abeo a sensibus, leave, i. e. speak no more of, Cic. Ac. 2, 28, 9; so often with longe: non longe abieris, you need not go far to seek for examples, id. Fam. 7, 19; cf.:

    ne longius abeam,

    id. Rosc. Am. 16, 47; id. Caec. 33, 95 al.:

    quid ad istas ineptias abis?

    why do you have recourse to —? id. Rosc. Am. 16, 47:

    abit causa in laudes Cn. Pompeii,

    Quint. 9, 2, 55:

    illuc, unde abii, redeo,

    I set out, Hor. S. 1, 1, 108:

    pretium retro abiit,

    has fallen, Plin. Ep. 3, 19, 7.
    B.
    In partic.
    1.
    With abl., to retire from an office or occupation:

    abiens magistratu,

    Cic. Pis. 3, 6; id. Fam. 5, 2, 7: Liv. 2, 27 fin.; 3, 38 fin. al.; so,

    abire consulatu,

    Cic. Att. 1, 16, 5; cf.

    flaminio,

    Liv. 26, 23 fin.:

    sacerdotio,

    Gell. 6, 7, 4:

    honore,

    Suet. Aug. 26:

    tutelā,

    Dig. 26, 4, 3, § 8; cf.:

    tutelā vel curā,

    ib. 26, 10, 3, § 18 al.
    2.
    Of the consequence or result of an action, to turn out, end, terminate:

    mirabar hoc si sic abiret,

    Ter. And. 1, 2, 4: cf.:

    non posse ista sic abire,

    Cic. Att. 14, 1; so id. Fin. 5, 3, 7; Cat. 14, 16 al.
    3.
    In auctions, t. t., not to be knocked down to one:

    si res abiret ab eo mancipe,

    should not fall to him, Cic. Verr. 2, 1, 54; cf.:

    ne res abiret ab eo,

    that he may purchase it, id. 2, 3, 64; so Dig. 18, 2, 1; 50, 17, 205.
    4.
    The imper. abi is often a simple exclamation or address, either with a friendly or reproachful signif.
    a.
    Abi, Indis me, credo, Begone, you are fooling me! Plaut. Most. 5, 1, 32; so Ter. Ad. 4, 2, 25; cf. Hor. Ep. 2, 2, 205. —
    b.
    Begone! be off! abi modo, Plaut. Poen. 1, 3, 20:

    abi, nescis inescare homines,

    Ter. Ad. 2, 2, 12;

    bence in the malediction, abi in malam rem!

    go be hanged! Plaut. Pers. 2, 4, 17:

    abin hine in malam crucem?

    id. Most. 3, 2, 163 (ef. Cic.: quin tu abis in malam pestem malumque cruciatum? Phil. 13, 21); v. crux and cruciatus.

    Lewis & Short latin dictionary > abeo

См. также в других словарях:

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  • RHODANUS — Gallis, le Rosne accolis vero nascentis fluminis lo Ros, fluv. maximus Europae, post Danubium primo, dein Rhenum; in Gallia Narbonensi, ex Adula monte e regione Rheni oriens, ac per Sedunos in Occasum fluens, in Lemannum lacum ingrediens, et ad… …   Hofmann J. Lexicon universale

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  • Birka — Infobox World Heritage Site Name = Birka and Hovgården infoboxwidth= 250px State Party = SWE Type = Cultural Criteria = iii, iv ID = 555 Region = Europe and North America Year = 1993 Session = 17th: For a group of islands in the Gulf of Finland,… …   Wikipedia

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